Lancée il y a un peu plus de quatre ans, la franchise peut se vanter d’un très honnête succès. Avec 2 millions de ventes supplémentaires, physiques et numériques sur l’ensemble de ses supports, Nioh 2permet à la licence d'atteindre les 5 millions d’exemplaires.
À noter que Nioh 2 est parvenu à ce chiffre plus rapidement que son aîné puisqu’il lui a fallu 13 mois pour atteindre cet objectif, contre 16 pour Nioh premier du nom.
La voie du Ninja
La Team Ninja a profité de cette occasion pour remercier les joueurs de l’accueil réservé à la série, en organisant un concours, qui semble malheureusement réservé à l’archipel japonais, pour récupérer tout un tas de goodies.
En guise de supplément, la Team Ninja invite les joueurs à attendre patiemment le prochain jeu du studio. De son côté, l’éditeur Koei Tecmo, ravi des résultats de la saga Nioh, espère bien réitérer l’exploit des 5 millions d’exemplaires vendus avec une nouvelle licence. Ambitieuse, celle-ci pourrait bien se retrouver à nouveau entre les mains de la Team Ninja.
Il semble toutefois peu probable qu’il s’agisse de Nioh 3. En effet, Fumihiko Yasuda, réalisateur du second volet, estime que le studio a fait le tour de la série pour le moment, déclarant qu’une nouvelle suite n’est pas encore à l’ordre du jour. Du moins, pas avant que le studio ne soit en mesure de poser un regard neuf sur la licence.
Très évasif sur les projets à venir ou en chantier du studio, Fumihiko Yasuda ne peut s’empêcher, en interview, de revenir fréquemment sur le sujet de Ryu Hayabusa, héros de la franchise Ninja Gaiden, en évoquant l’importance de ce personnage pour l’ensemble de la Team Ninja.
Le directeur souhaiterait notamment réinvestir l’expertise et les connaissances acquises lors des développements des titres Nioh pour faire renaître, un jour ou l’autre, Ninja Gaiden.
Source : The Gamer
C’est au détour d’un rayon jeux vidéo et d’une rencontre avec Golden Sun, Zelda, Final Fantasy, Kingdom Hearts et bien d’autres que je tombe amoureux, dès l’enfance, des productions japonaises. Constitué à 40% de livres sur le jeu vidéo, le cinéma et les mangas/animés (il me reste de la place pour la musique et les romans), c’est ma passion pour la culture qui me donne envie d’écrire. Déformation universitaire, ce sont les sujets psychologiques et sociologiques qui m’intéressent le plus dans le jeu vidéo. Histoire, personnages, thématiques, sous-textes : j’attends qu’ils me racontent et m’inspirent quelque chose.
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