Le nouveau firmware Freebox Server 3.1.2 apporte de nombreux correctifs, dont deux bienvenus dédiés au routeur de la Freebox mini 4K.
Free a publié lundi une mise à jour du Freebox Server, la première en trois mois, et surtout la première pour la Freebox mini 4K. On rappelle effectivement que le routeur accompagnant le décodeur Android TV repose sur la même carte mère, et donc sur le même firmware, que le Freebox Server de la Freebox v6.
Le magnétoscope de la Freebox mini 4K opérationnel
La nouvelle version corrige pour commencer un problème qui rendait impossible l'enregistrement de la TNT.
On rappelle à ce titre que, pour échapper à la taxe sur la copie privée (entre autres), les décodeurs de Free n'intègrent pas de disque dur et déportent les enregistrements sur les routeurs. Quoi qu'il en soit, la Freebox mini 4K basculait jusqu'à présent sur l'IPTV lors de l'enregistrement des chaînes de la TNT, même si l'antenne était branchée.
Il en résultait une qualité moindre et l'impossibilité de transférer les enregistrements des chaînes TF1, M6 et W9, verrouillées en IPTV mais pas en TNT. Pire, les abonnés inéligibles à la télévision par Internet ne pouvaient tout simplement rien enregistrer.
Le nouveau firmware répare également le journal d'appels du Server Mini 4K, qui ne fonctionnait pas depuis le lancement.
Correctifs pour les connexions ADSL et pour le Freebox OS
Le firmware corrige notamment un problème pénible provoquant des déconnexions sur certaines lignes téléphoniques en ADSL. Il rétablit par ailleurs le bon fonctionnement du Freebox OS, et en particulier du gestionnaire de téléchargements.
Le Freebox Server se met à jour automatiquement au démarrage. Il suffit donc de le redémarrer, par le biais des diverses interfaces disponibles ou simplement en le débranchant puis en le rebranchant, pour bénéficier de ces correctifs.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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