Comme prévu, Asus procède cette semaine au lancement officiel en France de l'Eee Box, un ordinateur de bureau miniature, dont la configuration et la conception s'inspire de l'Eee PC, le premier netbook de la firme taïwanaise. Au menu, on retrouve un processeur Atom N270 cadencé à 1,6 GHz, 1 Go de mémoire vive (sous la forme de deux barrettes de 512 Mo), un disque dur de 80 Go, un lecteur de cartes mémoire cinq en un, un contrôleur Ethernet gigabit et un module WiFi compatible avec la future norme 802.11n.
Cette tour est accompagnée d'une licence Windows XP édition familiale, mais vient dépourvue de clavier, de souris ou d'écran. Elle est d'ores et déjà disponible au travers de notre , à partir de 229 euros (Eee Box blanc, Eee Box noir).
En fonctionnement, l'Eee Box génèrerait selon Asus des nuisances sonores ne dépassant pas 26 dB, tout en offrant une consommation électrique inférieure à celle d'une tour traditionnelle du fait de l'utilisation de composants habituellement dévolus au monde de la mobilité. Son encombrement se révèle en outre nettement inférieur à celui d'un boitier ATX ou même Micro-ATX.
Reste à savoir si les consommateurs seront sensibles à ses charmes alors que l'on peut trouver, pour un prix ne dépassant pas 300 euros, un ordinateur complet équipé d'un Pentium double-coeur, de 3 Go de mémoire vive et d'un disque dur de 320 Go... A cet argument, Asus rétorque que le positionnement de l'Eee Box n'a rien à avoir avec celui d'un PC classique, et qu'elle saura sans peine s'imposer. Réponse dans les semaines à venir ?
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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