Dropcam a profité ce soir du CES Unveiled pour exposer la Dropcam Pro, un modèle de caméra de surveillance qu'il a lancé récemment.
Un peu moins d'un an après avoir lancé un service de vidéo surveillance « dans le cloud », Dropcam a complété la gamme de caméras associées. En plus de la Dropcam HD, rebaptisée Dropcam tout court au passage, il a effectivement lancé la Dropcam Pro.
Cette Dropcam Pro bénéficie d'une lentille offrant un champ de vision plus large, de 130° au lieu de 107, ainsi que d'un capteur vidéo et d'un micro plus performants. Ce dernier passe de 1280 x 720 pixels à 30 i/s à 1920 x 1080 pixels à 30 i/s, et il est plus sensible à la lumière, en particulier à la lumière infra-rouge. De quoi porter le zoom numérique (fonctionnant par simple recadrage) de 4 à 8x.
Dans le minuscule boîtier la connectivité Wi-Fi 802.11n passe en outre au double bande. La caméra se fixe à l'aide d'un support en aluminium, désormais noir, et s'alimente à l'aide d'un cordon micro-USB de 3 m fourni. Dès lors elle peut diffuser en direct (gratuitement) voire enregistrer sur Internet (sur abonnement). L'ensemble est accessible au travers d'un navigateur Internet ou d'une application mobile, qui permettent notamment de programmer les enregistrements en fonction de l'heure ou de la localisation de l'utilisateur (lorsqu'il est absent).
La Dropcam Pro est disponible dès à présent aux États-Unis, au prix public de 200 dollars HT (soit 175 euros TTC). On ne sait malheureusement pas si elle sera commercialisée en Europe.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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