Acer lance aujourd'hui en Europe l'ordinateur de bureau pour joueur qu'il a annoncé en avril, le « Predator G5910 ». Le nouveau vaisseau amiral d'Acer succède au récent G3600 et adopte à son tour l'architecture Sandy Bridge. Il marque sa suprématie par un boîtier à l'esthétique plus agressive.
S'il peut bénéficier en option de certains des composants les plus performants à ce jour, son tarif de base relativement proche de celui de son aîné démontre qu'il faudra mettre la main au portefeuille pour que sa fiche technique soit à la hauteur de son look.
Il abrite donc jusqu'à l'Intel Core i7-2600, jusqu'à 16 Go de mémoire vive DDR3, jusqu'à 4 disques durs de 2 To chacun, ou une combinaison de disques durs et de SSD. Il s'en tient en revanche à une carte graphique AMD Radeon HD 6850 ou 6870 (et non à une 6950 ou 6970), ou pire encore à une GeForce GTX de la série 400.
Il embarque par ailleurs une combinaison d'une ou plusieurs unités optiques lisant et/ou gravant des DVD et/ou des Blu-ray, un lecteur de cartes mémoires multiformat, et offre notamment deux ports USB 3.0.
La grille d'aération latérale laisse enfin entrevoir un cable management médiocre, dont on espère qu'il aura été corrigé depuis la prise de la photo officielle.
Le détail des configurations n'a malheureusement pas été communiqué, mais l'« Acer Predator G5910 » sera quoi qu'il en soit disponible dans les prochains jours en France et dans le reste de l'Europe à partir de 800 euros sans écran.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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