Bang & Olufsen se lance finalement sur le marché des haut-parleurs 2.1 pour ordinateurs, par le biais de sa division plus grand public B&O Play. Il a récemment dévoilé le luxueux BeoPlay S8.
La marque de luxe Bang & Olufsen vient finalement marcher sur les plates bandes d'autres fabricants de Hi-Fi comme Bose ou Focal, sur le marché des ensembles 2.1 pour ordinateurs et assimilés. Naturellement la marque n'y va pas de main morte et propose un produit très haut de gamme, probablement le plus cher du segment.
Le BeoPlay S8 s'articule autour d'un caisson de graves, relativement imposant, embarquant la connectique et les trois amplificateurs de classe D dédiés. Le premier délivre 280 W au haut-parleur intégré de 8 pouces (20 cm), assez grand pour couvrir une plage de fréquences allant de 20 à 150 Hz. Les deux autres délivrent 140 W chacun et pilotent deux satellites en aluminium équipés de haut-parleurs de 2,5 pouces (6,35 cm). Ces derniers sont proposés avec des supports de table ou avec des supports muraux.
Le fabricant ne précise malheureusement pas comment il a exprimé les puissances, mais ce n'est certainement pas en watts RMS. À titre de comparaison, 500 W RMS permettent de sonoriser un concert ou un événement pour quelques dizaines de participants, et 50 W suffisent à réveiller le voisinage. Nous avons réclamé des précisions au fabricant à ce sujet.
Cet ensemble permet quoi qu'il en soit de sonoriser très dignement un ordinateur. Il n'intègre ni Bluetooth, ni AirPlay, ni DLNA. Comme le suggère Bang & Olufsen, on pourra rendre ces enceintes plus polyvalentes en leur adjoignant d'autres sources, tel qu'une borne AirPort Express ou une passerelle Sonos Connect.
Le B&O BeoPlay S8 sera disponible d'un moment à l'autre pour la coquette somme de 1 200 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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