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Fujitsu et Sharp ont annoncé en fin de semaine dernière la mise en place d'une opération de rappel portant sur 79 000 batteries pour Ordinateurs Portables fabriquées par Sony. 51 000 batteries supplémentaires sont concernées chez Fujitsu, qui avait déjà lancé le rappel de 287 000 batteries début octobre, contre 28 000 exemplaires chez Sharp. Les japonais Toshiba et Fujitsu étudient désormais la possibilité de demander une réparation financière à Sony pour le préjudice subi en termes d'image.
Ce nouveau rappel porte à plus de 7,7 millions le nombre de batteries fabriquées par Sony amenées à être échangés. Rappelons que le groupe nippon a pris, le 28 septembre dernier, la décision de proposer le rappel de toutes les batteries suspectes dans le cadre d'un programme global dont il assumera le coût. Certains fabricants d'ordinateurs portables comme HP ont toutefois décidé de ne pas y participer.
Difficile à l'heure actuelle de déterminer les conséquences financières de ce remplacement pour Sony. La somme de 200 millions d'euros avait été évoquée par Sony lorsque et étaient les deux seuls fabricants à avoir annoncé un rappel. Au total, l'addition devrait donc se révéler bien supérieure, d'autant que certains envisagent de demander une indemnisation à Sony pour le coup porté à leur image, à seulement quelques semaines des fêtes de fin d'année.
« Nous n'avons pas d'autre choix de que de demander une compensation pour les possibles ventes manquées et le déclin de la valeur de notre marque », aurait affirmé un responsable de chez Toshiba au quotidien nippon Nihon Keizai Shimbun. Officiellement, la société prétend toutefois ne pas encore avoir arrêté sa décision. Même son de cloche chez Fujitsu où l'on explique que le versement de dommages et intérêts s'imposerait si des campagnes de dénigrement de leurs produits étaient lancées ou si les détaillants commençaient à leur retourner les machines non vendues.
Ce nouveau rappel porte à plus de 7,7 millions le nombre de batteries fabriquées par Sony amenées à être échangés. Rappelons que le groupe nippon a pris, le 28 septembre dernier, la décision de proposer le rappel de toutes les batteries suspectes dans le cadre d'un programme global dont il assumera le coût. Certains fabricants d'ordinateurs portables comme HP ont toutefois décidé de ne pas y participer.
Difficile à l'heure actuelle de déterminer les conséquences financières de ce remplacement pour Sony. La somme de 200 millions d'euros avait été évoquée par Sony lorsque et étaient les deux seuls fabricants à avoir annoncé un rappel. Au total, l'addition devrait donc se révéler bien supérieure, d'autant que certains envisagent de demander une indemnisation à Sony pour le coup porté à leur image, à seulement quelques semaines des fêtes de fin d'année.
« Nous n'avons pas d'autre choix de que de demander une compensation pour les possibles ventes manquées et le déclin de la valeur de notre marque », aurait affirmé un responsable de chez Toshiba au quotidien nippon Nihon Keizai Shimbun. Officiellement, la société prétend toutefois ne pas encore avoir arrêté sa décision. Même son de cloche chez Fujitsu où l'on explique que le versement de dommages et intérêts s'imposerait si des campagnes de dénigrement de leurs produits étaient lancées ou si les détaillants commençaient à leur retourner les machines non vendues.
