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Lancé le 28 décembre dernier puis activé le 12 Janvier 2006 pour recevoir ses premiers signaux, le premier satellite de test GIOVE-A du futur système de positionnement par satellites Européen concurrent du système GPS Américain, Galileo, est actuellement en cours de test avancé en Angleterre où a été disposé une immense antenne de 25 mètres de diamètre permettant "d'écouter" les signaux de Galileo.
Si jusqu'à présent ce satellite de test GIOVE-A, permettant de mettre en avant la viabilité des algorithmes et des techniques utilisées pour sa mise au point, a franchi avec succès les premières étapes de son utilisation, avec une mise en orbite et l'envoi des premiers signaux GPS en début d'année, c'est désormais la qualité réelle des signaux reçus par ce satellite qui est actuellement analysée.
Pour se faire, plusieurs moyens sont mis en œuvre, du Laboratoire de Navigation de l'ESTEC aux Pays-Bas à l'antenne ESA de Redu en Belgique avec en particulier l'antenne de 25 mètres de diamètre du Rutherford Appleton Laboratory à Chilbolton au Royaume-Uni, permettant « d'écouter » les signaux de GIOVE pour s'assurer qu'ils émettent bien selon les critères prévus.
En attendant d'avoir les résultats de ces tests techniques, ce sont également les premiers récepteurs Galileo qui sont testés et qui permettent de vérifier quel type de matériel est nécessaire pour capter des signaux Galileo. A cette occasion, les premiers récepteurs Galileo fabriqués par la société belge Septentrio ont été installés aux deux sites d'essai sur orbite - Redu et Chilbolton ainsi qu'à Guilford chez SSTL, le constructeur du satellite qui en assure aussi le contrôle sur orbite.
Reste à savoir si tous les points techniques du satellites GIOVE-A seront à termes validés où si ils devront être prochainement modifiés, voire transformés, avant la mise sur orbite du prochain satellite de test Galileo nommé GIOVE-B.
« Antenne de 25 mètres de diamètre pour "écouter" les signaux Galileo »
Si jusqu'à présent ce satellite de test GIOVE-A, permettant de mettre en avant la viabilité des algorithmes et des techniques utilisées pour sa mise au point, a franchi avec succès les premières étapes de son utilisation, avec une mise en orbite et l'envoi des premiers signaux GPS en début d'année, c'est désormais la qualité réelle des signaux reçus par ce satellite qui est actuellement analysée.
Pour se faire, plusieurs moyens sont mis en œuvre, du Laboratoire de Navigation de l'ESTEC aux Pays-Bas à l'antenne ESA de Redu en Belgique avec en particulier l'antenne de 25 mètres de diamètre du Rutherford Appleton Laboratory à Chilbolton au Royaume-Uni, permettant « d'écouter » les signaux de GIOVE pour s'assurer qu'ils émettent bien selon les critères prévus.
En attendant d'avoir les résultats de ces tests techniques, ce sont également les premiers récepteurs Galileo qui sont testés et qui permettent de vérifier quel type de matériel est nécessaire pour capter des signaux Galileo. A cette occasion, les premiers récepteurs Galileo fabriqués par la société belge Septentrio ont été installés aux deux sites d'essai sur orbite - Redu et Chilbolton ainsi qu'à Guilford chez SSTL, le constructeur du satellite qui en assure aussi le contrôle sur orbite.
Reste à savoir si tous les points techniques du satellites GIOVE-A seront à termes validés où si ils devront être prochainement modifiés, voire transformés, avant la mise sur orbite du prochain satellite de test Galileo nommé GIOVE-B.
« Antenne de 25 mètres de diamètre pour "écouter" les signaux Galileo »