[Article mis à jour le 03/11/2025 à 19h48] La marque M.Red ne vous parle pas plus que cela ? Ne vous inquiétez pas, cette équipe française est encore toute jeune. Mais, puisque aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années, la société se fait fort de rapidement trouver sa place au sein des fournisseurs de matériel et des intégrateurs de PC.

Pour ce faire, M.Red a développé une gamme de produits déjà très complète avec, d’abord, des boîtiers, mais aussi des alimentations, des solutions de refroidissement, des mini-PC, des PC intégrés... et d’autres choses encore dès l’année prochaine. Pour l’heure, ce sont les PC intégrés qui nous intéressent, notamment parce qu’ils profitent d’un réseau de distribution intéressant, les FNAC et Darty de la France entière.
Fiche technique du PC gaming M.Red CBT071-03
- Type de machine : ordinateur complet
- Boîtier : M.Red mini-tour, noir avec panneaux avant/latéral en verre
- Carte mère : Gigabyte B760M DS3H WIFI6E GEN5, format micro-ATX
- Processeur : Intel Cor i5-14600K (14 coeurs/20 threads), cadencé jusqu’à 5,3 GHz en boost
- Refroidissement processeur : M.Red watercooling AiO 240 mm ARGB
- Mémoire vive : 2x 16 Go Kingston Fury DDR5-5600 CL36
- Carte graphique : Gigabyte GeForce RTX 5070 Windforce OC SFF 12 Go GDDR7
- Stockage : SSD NVMe PCIe 4.0 x4, Kingston NV3 1 To
- Emplacements de stockage libres : Oui, 1x 3,5 pouces et 2x 2,5 pouces
- Alimentation : M.Red, ATX modulaire 80+ Gold (750 watts)
- Système d’exploitation : Windows 11 Édition famille préinstallé
- Dimensions (LxlxH) : 34,8 x 28 x 37,7 centimètres
- Poids : environ 6 kilogrammes
- Disponibilité : déjà disponible, à partir de 1 139€

Une belle petite machine… typée « aquarium »
Pour ce premier contact avec la marque, c’est une machine intermédiaire qui a été retenue, un PC capable de convenir à un maximum d’utilisateurs sans qu’il soit question d’hypothéquer son logement. Sachez cependant qu’au-delà de ce seul CBT071-03, M.Red dispose déjà d’une gamme complète à des prix débutant à 649 euros pour atteindre plus de 3 000 euros avec des composants variés, depuis la petite GeForce RTX 3050 jusqu’à la surpuissante GeForce RTX 5090.
Joli bloc watercooling sur le CPU et une belle petite GeForce RTX 5070. ©Le Studio Clubic
Nous reviendrons sur les détails techniques de notre cobaye du jour et, dans un premier temps, c’est son conditionnement qui nous importe. Comme la plupart des grands intégrateurs français, M.Red ne lésine pas sur les papiers-bourrages glissés dans le boîtier afin que les éléments les plus sensibles soient bien maintenus dans le transport : il n’est guère difficile de caler un boîtier dans un carton, fusse-t-il doté de parois en verre, mais il en va autrement de la carte graphique par exemple.
Afin que celle-ci ne coure aucun risque de « décrochage » durant le transport, M.Red a donc bien calé celle-ci avec de multiples papiers bien épais, bien enroulés. Elle est également maintenue par un support en fort d’équerre. Forcément, cela fait un peu bizarre au sortir du carton : les parois en verre, théoriquement du plus bel effet, sont ici surtout l’occasion de contempler tout ce bourrage… mais c’est pour la bonne cause !
C’est que M.Red a retenu un boîtier tout à fait dans « l’air du temps » pour ce CBT071-03. Doté de nombreuses grilles auxquelles sont associés des filtres à poussières très simples à retirer/nettoyer, le boîtier se distingue surtout par ses deux larges parois en verre (avant, côté gauche). Un style que l’on baptise parfois « aquarium » que M.Red a parfaitement accompagné : ventilateurs RGB, barrettes mémoire avec bande LED et bloc CPU du watercooling illuminé. Il faut aimer bien sûr, mais avouons que cela ne laisse pas indifférent !
Du détail de la configuration
Lumineuse et plutôt compacte pour une machine « desktop », le CBT071-03 ne mesure effectivement que 34,8 x 28 x 37,7 centimètres. Des dimensions qui auraient rendu délicate l’installation d’une carte mère ATX standard et c’est la raison pour laquelle M.Red a opté pour un modèle micro-ATX signé Gigabyte. Il s’agit d’une carte moyenne gamme qui dispose de la plupart des raffinements nécessaires, sans aller trop loin dans les options « accessoires ».
CPU-Z apporte d'autres informations sur la configuration. ©Le Sudio Clubic
Ainsi, en prévision de l’avenir, cette Gigabyte B760M DS3H WIFI6E GEN5 est dotée d’un port PCIe Gen 5 pour la carte graphique, mais ne s’encombre pas de PCIe Gen 5 pour les SSD M.2 : le PCIe Gen 4 est bien suffisant. Quatre emplacements DDR5-7600 sont au menu, placés à proximité de l’étage d’alimentation en 6+2+1 phases : bien suffisant pour le type de processeurs amené à être utilisé. M.Red a justement opté pour le très bon Core i5-14600K d’Intel : un modèle performant doté d’un rapport qualité/prix parmi les meilleurs du marché.
Il est associé à une très bonne carte graphique estampillée NVIDIA, mais signée Gigabyte, comme la carte mère. Il s’agit d’une GeForce RTX 5070 Windforce OC qui doit offrir des performances un peu supérieures à celles du modèle Founders Edition de NVIDIA. La technologie DLSS 4 devrait lui assurer d’excellents résultats sur tous les jeux du moment et alors que ce duo est accompagné de 32 Go de mémoire vive (DDR5-5600), cela devrait aussi suffire pour les productions à venir sur les trois ou quatre prochaines années.
Processeur Intel Core i5-14600K, carte graphique Gigabyte GeForce RTX 5070 Windforce OC et carte mère Gigabyte B760M DS3H WIFI6E GEN5 : du tout bon. ©Le Studio Clubic
Notons que la mémoire vive est livrée en deux barrettes de 16 Go chacune afin de profiter de la fonction double-canal tout en gardant une certaine évolutivité puisque deux ports DIMM restent disponibles. Des points autorisés par l’utilisation du chipset B760 sur la carte mère Gigabyte. Cela permet aussi de profiter du Wi-Fi dans sa norme 802.11ax ou 6E et du Bluetooth 5.3. Plus important encore, le réseau filaire profite lui d’un port RJ45 en 2,5 GbE.
Ce connecteur RJ45 n’est que l’une des nombreuses fonctionnalités offertes par la carte mère qui, associée au boîtier micro-ATX, permet de profiter en façade de deux ports USB-A 3.2 Gen 2, d’un port USB-A 2.0 et d’un combo jack 3,5 mm audio. On regrette juste l’absence d’un USB-C. La face arrière du PC est logiquement plus richement dotée avec ce fameux port USB-C (un seul cependant) en plus de trois USB-A 3.2 Gen 2, deux USB-A 2.0, un combo PS/2, un HDMI, un DisplayPort, le RJ 45 2,5 GbE donc et trois jack 3,5 mm pour l’audio.
Enfin, soulignons l’emploi d’un SSD Kingston NV3 PCIe Gen 4 d’une capacité de 1 To et d’une alimentation – signée M.Red, on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même – de bonne puissance (750 watts), modulaire, mais surtout certifiée 80Plus Gold.
De la qualité du montage
Passer par un intégrateur et disposer d’une machine « prête à l’emploi » ne concerne pas que les amateurs de jeu vidéo, mais dans le cas de ce modèle M.Red, ce sont bien ces usagers qui sont visés, nous avons pu nous en rendre compte avec le type de configuration retenu. Cela dit, au-delà de ce côté prêt à l’emploi et de composants choisis avec cohérence, un PC comme le CBT071-03 se doit de profiter d’un montage de qualité.
Après tout, c’est la moindre des choses quand on se prétend professionnel de l’intégration que d’être en mesure de monter une machine proprement. Avec M.Red, il n’y a pas de mauvaise surprise et le CBT071-03 est un modèle de finition avec, nous l’avons déjà évoqué, un souci du détail qui va jusqu’à proposer une petite équerre de soutien pour la carte graphique alors que, les amateurs vous le diront, une GeForce RTX 5070 – étant relativement légère – n’a pas besoin de pareil accessoire.
Pour chipoter, on va dire que le câble USB de droite aurait pu être plus discret. ©Le Studio Clubic
Reste que cette équerre est de nature à tranquilliser le joueur avec, toutefois, un petit regret : qu’elle ne soit pas davantage « ancrée » dans la partie inférieure du boîtier, ce qui ne l’empêche toutefois pas de remplir parfaitement son rôle. Rien à redire non plus du côté de ce que les amateurs nomment « cable management » : la gestion de tous les câbles afin d’éviter d’en avoir de trop gros, disgracieux, alors que le boîtier « aquarium » les mettraient bien en évidence.
Eh bien, là non plus, rien à redire et on sent que la machine a été montée avec soin, à la main, par des habitués de ce genre de tâches. Les différents câbles d’alimentation (de la carte mère ou de la carte graphique), mais aussi de connectique (front panel, audio USB) sont parfaitement organisés et « rangés » proprement derrière la carte mère. La chose est d’autant plus appréciable qu’au-delà de l’aspect visuel « aéré », cela permet un meilleur flux d’air au sein du boîtier et accès simplifié aux composants si le besoin s’en fait sentir : il sera simple, par exemple, d’ajouter de la mémoire vive.
Préinstallé… avec Windows 11 Famille
De plus en plus d’intégrateurs proposent un Windows 11 préinstallé sur leur machine. Cela permet de gagner du temps pour les utilisateurs qui, de fait, n’ont presque plus rien à faire d’autre que de brancher la machine pour « se mettre au travail ». Dans le cas de M.Red, il s’agit d’un Windows 11 Famille et ce n’est pas une version d’essai comme chez quelques concurrents, mais un Windows activé et entièrement fonctionnel. Certains usagers regretteront que M.Red ne laisse pas le choix du système et, par exemple, d’installer Linux pour faire quelques économies.
Le Gigabyte Control Center est un outil bien pensé pour surveiller sa machine. ©Le Studio Clubic
Cela dit, reconnaissons que Windows 11 reste le système d’exploitation numéro un sur le marché… ceci expliquant cela. Il est bon de souligner que le système est aussi à jour que possible, mais qu’au premier démarrage, il faudra installer quelques mises à jour. L’application compagnon de la carte mère Gigabyte est d’ailleurs là pour nous aider dans cette tâche avec un « centre de contrôle » plutôt bien pensé. C’est le seul logiciel proposé en plus de Windows 11. M.Red mettant un point d’honneur à ne pas nous saturer de logiciels inutiles. Merci.
Et côté puissance ça donne quoi ?
Un PC associant un Core i5-14600K, une GeForce RTX 5070 et 32 Go de DDR5-5600 ne devrait pas souvent être en difficulté, et ce, peu importe le type de scénario que vous seriez amené à lui proposer. Ainsi, même si comme M.Red le souligne assez logiquement, le CBT071-03 est d’abord une machine pensée pour le jeu vidéo, cela ne doit pas nous empêcher d’étudier son comportement sur des tests plus génériques.
Les performances du Spellblade sur Blender Benchmark et CrystalDiskMark. ©Le Studio Clubic
Cinebench 2024 est évidemment là pour évaluer le Core i5-14600K et ses 20 cœurs, Blender Benchmark est dévolu à la carte graphique GeForce RTX 5070, CrystalDiskMark se charge d’étudier le SSD et, enfin, PCMark 10 fait une sorte de point d’ensemble. Force est de constater que le CBT071-03 se sort très bien de ces différents exercices. Sur Blender, la GeForce est exactement là où on l’attendait alors que sur CrystalDiskMark, le SSD affiche des impressionnants.
Les performances observées sur PCMark et Cinebench 2024. ©Le Studio Clubic
La puissance de calcul du Core i5-14600K n’est guère plus critiquable et, sur Cinebench 2024, il signe d’excellentes performances. Au final, les différentes tâches simulées par PCMark 10 soulignent la très bonne homogénéité d’une machine pensée pour le jeu vidéo, mais bel et bien à l’aise dans de multiples cas : en dehors des tâches les plus lourdement parallélisées ou des environnements nécessitant de grandes quantités de mémoire vive/mémoire vidéo, rien ne devrait l’arrêter.
La question de la quantité de mémoire vidéo se posera d’ailleurs si vous envisagez d’importants travaux sur l’intelligence artificielle. Cela dit, sans parler de tâches particulièrement lourdes, nous avons pu vérifier que – sur la génération d’images via Stable Diffusion en FP16 – la GeForce RTX 5070 donne déjà de très bons résultats. Pas de réelle contrindication donc.
La patte NVIDIA : DLSS 4, path tracing et Reflex 2, tout pour le jeu
Au-delà des performances brutes, l’intérêt de prendre une carte graphique GeForce est de profiter de l’écosystème NVIDIA. Un environnement pensé pour le jeu vidéo et conçu pour mettre en place les technologies les plus modernes. Bien sûr, l’intelligence artificielle – ou le deep learning comme on l’appelle également – prend une place de choix alors que NVIDIA est le numéro un du secteur et que les jeux vidéo ont tout à y gagner.
Tous les joueurs PC ont ainsi entendu parler de DLSS, la technique d’affichage assistée par l’IA mise au point par NVIDIA. En premier lieu, elle assure une mise à l’échelle de l’image de sorte qu’un rendu opéré en 1 080p par le GPU s’affiche en 1 440p de manière aussi parfaite que possible, évitant ainsi les effets d’escalier. Depuis DLSS 3, on parle aussi de plus en plus de la génération d’images qui confie à l’IA le calcul de toute une image en s’appuyant sur celles qui précède/qui suit afin de décharger encore le GPU. Aujourd’hui, DLSS 4 va plus loin avec la génération multiple d’images qui double encore la vitesse d’animation.
DOOM: The Dark Ages : spectacle garanti en path tracing. ©NVIDIA
Pourquoi décharger autant le GPU ? Mais pour lui permettre d’afficher encore plus détails, des textures encore plus fines et des effets toujours plus complexes/riches/réalistes. Depuis peu, le ray tracing s’est invité dans nos jeux pour des effets de lumière à tomber et NVIDIA est allé encore un peu plus loin avec le path tracing qui, sur un jeu comme DOOM: The Dark Ages par exemple, se montre particulièrement impressionnant : jeux de lumière, particules et projections sont stupéfiantes !
Enfin, NVIDIA a trouvé la solution aux problèmes de réactivité liée à l’introduction de la génération d’images : Reflex et même, depuis peu, Reflex 2. Logiquement, une machine comme ce M.Red CBT071-03 exploite toute la puissance de cette technologie afin de délivrer une réactivité « au taquet » : l’optimisation est systématique et, notamment, visible avec la synchronisation CPU/GPU ou dans l’intégration de la technologie Frame Warp pour prendre en compte les dernières impulsions envoyées par le joueur avec sa souris.
Du détail de la configuration
Écosystème NVIDIA ou nature des composants embarqués, tout dans le PC M.Red transpire l’amour du jeu vidéo. De fait, il était important de vérifier les performances obtenues par un tel système en « conditions ludiques ». Pour ce faire, nous avons donc d’abord évalué les performances de la machine sur les scènes les plus couramment utilisées de 3DMark : Time Spy Extreme, Port Royal, SpeedWay et Steel Nomad, de la moins lourde à la plus complexe.
D'excellentes performances sur 3DMark : la RTX 5070 ne déçoit pas. ©Le Studio Clubic
Sans faire dans l’esbroufe, le PC M.Red s’acquitte parfaitement de sa tâche et la GeForce RTX 5070 fait plus que le job. Les performances obtenues sur 3DMark Time Spy Extreme confirment la bonne tenue de la machine sur les jeux actuels, alors que les résultats sur les autres scènes – en particulier les 5 372 points sur Steel Nomad – sont de bon augure pour les productions à venir, même lorsque le ray tracing sera de la partie.
Pour le vérifier, nous avons utilisé deux des plus remarquables vitrines technologiques que le jeu PC peut offrir. D’abord l’inévitable Cyberpunk 2077 et le récent DOOM: The Dark Ages, perle technique mise au point par id Software. Enfin, nous avons bouclé cette passe de trois avec Battlefield 6, le jeu d’action multijoueur du moment. La définition 4K n’est pas la plus indiquée pour une telle machine, nous avons à chaque fois limité nos jeux au QHD (2 560 x 1 440), mais nous avons conservé tous les détails graphiques au maximum, ray tracing compris.
Ci-dessus, voici un aperçu de ce que donne DOOM: The Dark Ages sans et avec l’option graphique la plus gourmande actuellement disponible : le path tracing. Avouez que le résultat a fière allure ! Et, comme vous pouvez le voir ci-dessous, il tourne aussi très bien pourvu que l’on active la technologie reine de NVIDIA, DLSS 4 avec sa multi-frame generation calée sur le 4x. On profite alors d’une vitesse d’animation qui ne passe jamais sous les 100 images par seconde !
Sans surprise, il en va plus ou moins de même avec Cyberpunk 2077 où la fluidité de l’animation reste assez proche de celle de DOOM: The Dark Ages. Enfin, sorti tout récemment, Battlefield 6 est un modèle d’optimisation qui permet à la GeForce RTX 5070 et notre PC M.Red dans son ensemble d’afficher de remarquables résultats : près 300 images par seconde avec DLSS et la génération d’images 4X, mais déjà presque 100 ips sans toutes les technologies NVIDIA. Impressionnant.
PC gaming M.Red CBT071-03, ce qu'il faut en penser
Équilibrée, montée avec soin et dotée de performances en rapport avec sa cible, le PC CBT071-03 de M.Red est une machine sérieuse à même de satisfaire la majorité des joueurs. Il profite avant toute chose de la puissance de sa GeForce RTX 5070 pour que tous les jeux du moment – ainsi que ceux à venir – tournent sans le moindre problème, jusqu’en QHD (1 440p). Remercions au passage DLSS 4 et les multiples technologies signées NVIDIA.
Grâce à ces technologies, le M.Red CBT071-03 n’est pas plus en difficulté que cela pour afficher les dernières trouvailles graphiques des développeurs, ray tracing en tête de liste. Les joueurs compétitifs seront ravis de pouvoir lui associer un écran à très haute fréquence de rafraîchissement pour atteindre des sommets dans leurs jeux favoris et, bien sûr, le CBT071-03 sera aussi parfaitement à l’aise sur des tâches plus « triviales », mais pas moins importantes, de la vie de tous les jours.
Saluons enfin la qualité du montage et, nous l’avons déjà dit, la cohérence d’une machine qui ne met pas exagérément l’accent sur tel ou tel composant. Ainsi, l’Intel Core i5-14600K et ses 14 cœurs sont parfaitement en phase avec la GeForce RTX 5070. Même chose pour les 32 Go de RAM ou le SSD qui ne tombe pas dans le « piège » du PCIe Gen 5 : il n’a une capacité « que » de 1 To, mais il sera très simple d’en ajouter un autre. Voilà donc une machine qui devrait réjouir ses acquéreurs !
En associant des composants de qualité comme la carte graphique GeForce RTX 5070 et le processeur Core i5-14600K, M.RED assure à sa machine cohérence, puissance et durabilité.
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