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Relayées par notre confrère Blue's News, les péripéties des propriétaires d'id Software semblent pour le moins cocasses. Fondée en 1991 par Adrian Carmack, John Carmack (aucun lien de parenté), Kevin Cloud et John Romero, la société est l'une des pionnières du jeu d'action à la première personne et son succès fait aujourd'hui des envieux, parmi lesquels on retrouve son éditeur, Activision. Ce dernier aurait effectivement offert 90 millions de dollars pour récupérer les licences Doom, Quake et Wolfenstein. Soucieux de son indépendance, id Software a refusé, à la suite de quoi Activision a décidé de proposer 105 millions de dollars pour l'ensemble de la société et c'est là que les choses se corsent.
Tous les actionnaires (John Carmack, Kevin Cloud, Todd Hollenshead et Tim Willits) étaient contre, sauf Adrian Carmack, détenteur de 41 % de la société, et qui aurait au passage empoché 40 millions de dollars. Pour simplifier les choses, les autres actionnaires lui auraient alors proposé 20 millions de dollars pour ses parts. Adrian Carmack a refusé, s'est tout bonnement fait virer par ses anciens collègues et se retrouve maintenant dans l'obligation (par contrat) de vendre ses actions pour « seulement » 11 millions de dollars. Furieux, il tente bien sûr de faire valoir ses prétentions devant la justice et intente un procès à ses petits copains en arguant du fait qu'ils l'ont viré simplement pour être en mesure de racheter ses parts et vendre la société sans lui... Un vrai feuilleton américain vous ne trouvez pas ?
Tous les actionnaires (John Carmack, Kevin Cloud, Todd Hollenshead et Tim Willits) étaient contre, sauf Adrian Carmack, détenteur de 41 % de la société, et qui aurait au passage empoché 40 millions de dollars. Pour simplifier les choses, les autres actionnaires lui auraient alors proposé 20 millions de dollars pour ses parts. Adrian Carmack a refusé, s'est tout bonnement fait virer par ses anciens collègues et se retrouve maintenant dans l'obligation (par contrat) de vendre ses actions pour « seulement » 11 millions de dollars. Furieux, il tente bien sûr de faire valoir ses prétentions devant la justice et intente un procès à ses petits copains en arguant du fait qu'ils l'ont viré simplement pour être en mesure de racheter ses parts et vendre la société sans lui... Un vrai feuilleton américain vous ne trouvez pas ?
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.
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