Trackmania

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
21 novembre 2003 à 17h00
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Faire très beaucoup avec peu ou plutôt beaucoup avec très peu semble décidément être la devise de Focus. Depuis un petit moment, l'éditeur bien de chez nous (français quoi) se permet de nous offrir des titres qui ont le bon goût de rassembler trois qualités essentielles : originalité, finition et amusabilité (oui, c'est nouveau, ça vient de sortir). Les différents succès de Sudden Strike, Runaway ou bien encore Cycling Manager témoignent du talent de cet éditeur qui d'ailleurs doit finir par se sentir pousser des ailes à force d'enchaîner les hits !

Le titre qui nous préoccupe aujourd'hui est l'œuvre d'un petit studio du nom de Nadeo. Les moins assidus de nos lecteurs ne connaissent sans doute pas du tout cette société qui n'est pourtant pas ce que l'on peut appeler une débutante en la matière. Derrière Nadeo se cache en fait Duboï Duran le spécialiste des effets spéciaux qui s'est attaqué au monde du jeu vidéo avec Virtual Skipper et poursuit maintenant son entreprise avec Trackmania, un jeu de courses automobiles d'un genre vraiment très particulier !


Aparté totalement inutile et ce faisant parfaitement dispensable

Je pourrais commencer cet article en vous ressassant mes souvenirs de vieux routard du jeu vidéo (NDLR : tu vois, c'est mieux que "vieux con" tout de même !). Je pourrais vous raconter les heures que j'ai passé avec 4D Sport Driving à concevoir de beaux circuits de mes petites mains. Je pourrais également vous commenter les fantastiques défis que l'on se livrait avec mes amis en attendant le cours d'histoire-géo de Mme Besnard. En effet, je pourrais en dire des choses sur les innombrables péripéties de ma folle jeunesse mais tout bien réfléchi, je ne suis pas certain que vous en ayez quelque chose à battre (NDLR : "à faire" c'est mieux... Tu baisses là, tu baisses). Je vais donc éviter de vous pourrir l'existence avec mes souvenirs à la noix que je conserve toutefois pour un prochain ouvrage au titre déjà tout trouvé : "Pour une Nercesographie du jeu vidéo". Quoi ? Mais noooon, je ne suis pas mégalo !

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Trackmania fait dans la simplicité mais n'en demeure pas moins redoutablement efficace !


Vavavoum !

Maintenant que j'ai réussi à éliminer à peu près 95% du lectorat de Clubic de la surface de ces pages web, nous sommes entre gens de bonne compagnie (NLDR : Euh... Tu es encore là pourtant !) et nous allons pouvoir parler d'un petit jeu bien sympathique que seuls les vrais joueurs pourront apprécier à sa juste valeur. J'entends déjà la moitié des lecteurs restant beugler derrière leur écran : et oui, les gars, il faut couper votre micro de Counter-Strike quand vous surfez sur Clubic... Big Brother ne fait pas que vous regarder, il vous écoute également. Donc j'en reviens à mes moutons et en l'occurrence à mes petites voitures, Trackmania étant comme son nom l'indique très clairement un jeu de courses et plus particulièrement un jeu de courses... Zautomobiles ! Les développeurs doivent cependant être des fanatiques de petites voitures et de jeux comme SuperSprint ou bien 4D Sport Driving tant leur titre semble à contre-courant de ce qui se fait actuellement. Trackmania ne ressemble à rien de récent et se trouve même être à des années lumières des F1 Challenge, Colin McRae ou autres Rallisport Challenge. Dès le lancement du jeu le ton est d'ailleurs donné : petite musique que les habitués de l'Amiga jureront sortie d'un tracker quelconque et absence totale d'introduction. Pas besoin de fioritures, on est tout de suite dans le jeu avec la possibilité de se lancer en solo, en multijoueurs "monoposte" ou en multijoueurs réseau. Les options restantes permettent de modifier les réglages du pseudo (couleur des différentes voitures), de construire son propre tracé ou bien encore d'aller dans la "boutique" pour justement acheter des blocs afin de donner plus de vie aux circuits ainsi créés. Laissons pour le moment de côté ce mode "Lego" pour commencer par ce qui est directement jouable et en particulier par le mode solo. Afin de varier quelque peu les plaisirs, les développeurs ont subdivisé ce mode en deux parties bien distinctes quoique relativement proches dans leur contenu : les courses et les puzzles.

Le terme "course" parle de lui-même et il n'est pas nécessaire d'apporter moult explications sur le sujet. Disons que plus de 50 courses sont à débloquer une à une en terminant la précédente en un certain temps. Chaque course dispose en réalité de quatre seuils qui déterminent votre niveau : bronze, argent, or et "nadeo". Meilleur est votre seuil, plus intéressante est la récompense. Avec le bronze, vous débloquez la course suivante et empochez quelques "coppers". Ensuite plus votre temps est bon plus vous montez dans la hiérarchie (argent, or...) et plus vous récoltez de "coppers" dont nous verrons l'utilité plus tard. Les courses se jouent sur trois types de décors (neige, désert, campagne) et sans personne à défier. Le but est simplement de réaliser le meilleur temps possible. A chaque nouveau départ, un véhicule "fantôme" matérialise toutefois votre meilleure performance : cela permet tout de même de se mesurer à quelque chose de plus "vivant" qu'un simple chronomètre. Les puzzles sont très proches des courses dans leur déroulement et les trois environnements graphiques (neige, désert et campagne) sont strictement identiques. Le système d'obtention des médailles et les récompenses qui en découlent ne change pas non plus mais cette partie innove cependant. Comme le titre l'indique, les circuits proposés sont de véritables casse-têtes. Selon les épreuves vous aurez un circuit déjà tout prêt sur lequel concourir ou bien au contraire un circuit incomplet qu'il faut terminer. Dans le premier cas, il faudra souvent chercher des petites astuces comme "couper le fromage" ou bien passer en marche arrière afin d'arriver dans le temps imparti. Dans le second cas, c'est encore pire ! Le circuit étant incomplet ce sera à vous, avec les pièces que les développeurs ont laissé à votre disposition, de composer le tracé le plus rapide pour relier le départ à l'arrivé. De la qualité de votre tracé (utilisation à bon escient des accélérateurs, des sauts...) dépendra évidemment le temps qu'il sera possible de faire et de ce fait la récompenses à espérer de cette épreuve. Les puzzles sont eux-aussi au nombre de 50 à débloquer environnement par environnement (on commence par la neige puis le désert et enfin la campagne). Avec ces puzzles, les développeurs donnent du fil à retordre aux joueurs et en profitent pour donner quelques pistes dans la construction de circuits qui, comme nous allons maintenant le voir, constituent un autre mode de jeu.

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En simple joueur, il faut batailler dur et parfois ruser pour décrocher toutes les médailles


Roulez, petits bolides...

Après avoir tâté du mode simple joueur et en particulier de la construction de circuits avec les puzzles, nombreux sont ceux qui auront envie de se prendre au jeu et de concevoir tout simplement leurs propres tracés. En fonction de ses succès en mode solo, le joueur dispose d'un certain capital de "coppers" qu'il va maintenant pouvoir investir dans différents blocs de circuits. Ces blocs se répartissent en une soixantaine d'éléments par environnement et offre une variété largement suffisante pour concevoir des circuits bien tordus. Blocs accélérateurs, virages serrés, piste inclinée, looping, tremplin de saut ou obstacles divers : il n'y a que l'embarras du choix ! La construction se fait par simple apposition de blocs, on peut modifier leur "altitude" (afin de créer de véritables montagnes russes) et les faire tourner sur eux-mêmes pour qu'ils coïncident avec le bloc précédent. Si l'utilisation de l'éditeur est relativement simple, on regrettera tout de même qu'il ne soit pas possible de faire "glisser" plus rapidement le "plan de travail" : on se déplace en effet "case par case" sur le circuit et ce n'est évidemment pas ce qu'il y a de plus pratique pour les plus grands d'entre eux. De la même manière, on aurait bien aimé avoir un mode "grand angle" afin d'avoir une vue d'ensemble. Malgré ces quelques petits reproches, l'éditeur est suffisamment clair pour que même les moins habitués d'entre nous parviennent à faire de belles réalisations très rapidement.

Le travail de création achevé, il faut encore définir les temps d'obtention des différentes médailles et pour cela il est indispensable de tester le circuit. Cette étape est source de frustration lors des premiers essais car le superbe circuit que l'on a assemblé avec amour se transforme bien souvent en catastrophe totalement impraticable. Il faut savoir rester modeste au début, commencer par de petits tracés et éviter tout ce qui se rapproche de près ou de loin à un bloc "sensible". Ensuite, petit à petit, on pourra ajouter ces loopings qui nous font rêver ou ces pentes délirantes terminées par un tremplin ! Il n'est pas évident d'apprécier correctement la déclivité des tracés et la longueur des sauts mais c'est typiquement le genre de choses qui vient avec la pratique... Les architectes en herbe ne s'en laisseront de toute façon pas compter et pour ceux qui ne supportent pas cette étape de création, il sera toujours possible de se reposer sur le travail des autres. Alors que Trackmania n'était disponible qu'en démo, plusieurs sites se sont déjà montés afin de proposer des circuits très originaux aux joueurs. Malgré le faible nombre de blocs alors disponible, la créativité des joueurs était déjà impressionnante. L'échange de circuit devrait donc rapidement battre son plein et on devrait très vite voir apparaître des listes de "circuits vedettes" qui seront à même de prolonger la durée de vie de Trackmania.

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L'éditeur de circuits est simple d'accès et pourtant très puissant !


Orienté multijoueurs ?

La construction de circuits et le mode simple joueur ne constituent qu'une partie de l'intérêt de Trackmania qui se repose beaucoup sur les parties mutlijoueurs pour convaincre les foules. Il faut dire que de ce côté là, les petits gars de Nadeo on fait très fort ! Trackmania est en effet le type même du titre "prêt à jouer". Pas de configuration complexe, pas d'apprentissage sur le long terme : un jeu "plug and play" en somme. N'ayant pas assez d'exemplaires du jeu à disposition pour ce test, nous n'avons pas été en mesure de l'essayer avec un très grand nombre de joueurs mais d'après les paramètres, il devrait être possible de jouer à au moins dix en simultané : de belles bagarres en perspective ! Il est possible de jouer en réseau local bien sûr mais aussi sur Internet ou bien en mode "défi" sur une seule machine. C'est ce dernier cas de figure que nous allons tout d'abord décrire. Deux à quatre joueurs peuvent prendre part au défi. Chacun choisi son profil qu'il aura au préalable configuré et il suffit ensuite de décider du parcours pour le défi. Au choix on peut prendre un des tracés déjà débloqué en mode solo, un circuit téléchargé sur Internet ou bien encore en créer un de toutes pièces spécialement pour cette occasion. Le défi peut ensuite commencer et son déroulement est relativement simple. Chacun leur tour, les joueurs font une fois la course. Un meilleur temps est alors établi qui devient la référence à battre. L'auteur de ce temps se tourne alors les pouces pendant que les autres, à tour de rôle, essayent de faire mieux. Dès lors que c'est fait, c'est l'auteur de ce nouveau temps de référence qui peut aller se reposer. A chaque fois qu'un participant échoue dans sa tentative de battre le meilleur chrono sa barre de "vie" diminue jusqu'à son élimination pure et simple. Très amusant ce mode vaut surtout par la tension qui se créé autour de la course. Les autres joueurs suivent évidemment avec attention le passage de chaque participant et très rapidement les vannes fusent, ça chambre et ça rigole dans tous les sens !

On regrettera tout de même qu'à l'instar de ce qui se passe souvent dans les jeux de courses console, il n'y ait pas de mode avec écran "splitté" afin de pouvoir jouer en même temps à deux, trois voire quatre sur la même machine. Pour jouer à plusieurs en simultané, il n'y a d'autre choix que le réseau. Qu'il s'agisse d'Internet ou de LAN, il faut alors un CD par joueur. L'un des participants devient "hôte" et configure alors la partie en sélectionnant l'enchaînement des circuits, le nombre de joueurs et les conditions de victoire (contre la montre, points, points par équipe). Ces quelques paramètres définis, la course peut commencer. Si vous regardez les photos, vous devez vous apercevoir que les voitures se "chevauchent", il faut en effet savoir que Trackmania ne gère pas les collisions. On peut donc sans vergogne passer sur les autres voitures, cela n'a aucune incidence sur la tenue de route de votre bolide. Si cela permet à chacun de se concentrer sur sa course, il est tout de même regrettable que les développeurs n'aient pas intégré cela, au moins en option. Bien sûr c'est absolument ingérable sur les parties à huit ou dix joueurs, mais cela aurait permis de pimenter davantage les affrontements à deux ou trois participants. Malgré ce petit défaut, les parties deviennent très rapidement de véritables petits délires, surtout en LAN ! Pour peu que les joueurs soient assez proches les uns des autres, tout le monde se met à hurler, à pester ou à balancer les pires insanités sur les autres... Les circuits s'enchaînent rapidement et comme les contrôles sont très simples à appréhender, on arrive rapidement à faire illusion même face à des joueurs chevronnés. Les titres procurant ce niveau de plaisir à plusieurs sont finalement assez rares et les parties de Trackmania m'ont en ce sens rappelé les délires de titres comme Bomberman par exemple !

Trackmania dispose de la même simplicité que le titre de Hudson Soft et d'un potentiel à peine inférieur. Les parties sont nerveuses, le concept très simple à assimiler et les seuls reproches que l'on peut faire à l'encontre du titre de Nadeo sont les deux critiques que nous avons déjà formulées : l'absence de mode simultané sur un même poste et l'impossibilité d'ajouter des collisions si on le souhaite. En dehors de ça les développeurs on pratiquement réussi un sans faute. Très agréable en solo, il prend une dimension toute particulière à plusieurs. Le concept est parfaitement maîtrisé et la réalisation, bien que sans éclat particulier, est juste comme il faut ! Elle permet en plus au jeu d'être relativement léger même si nous avons rencontré quelques toutes petites sautes de temps à autres en réseau. Un processeur à 1.2 GHz épaulé par 256 Mo et une GeForce 3 suffisent parfaitement pour que le jeu tourne sans souci en 1024x768. Enfin, l'ouverture de Trackmania aux travaux personnels (circuits, skins pour les voitures) devraient lui assurer une durée de vie peu commune d'autant que l'on peut imaginer de très nombreuses extensions (nouveaux blocs, nouveaux environnement, nouveaux véhicules...) pour un tel titre !

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Les affrontements multijoueurs sur Trackmania sont parmi les plus amusants depuis longtemps


Conclusion

Entre digressions inutiles et éliminations aussi systématiques qu'efficaces du lectorat de Clubic, j'aurais tenté par cet article de vous transmettre mon goût, que dis-je mon goût, ma passion pour ce petit jeu sans prétention mais au concept ravageur qu'est Trackmania. Il n'est bien sûr pas question d'épate technique et Trackmania n'est pas davantage le jeu qui en mettra plein les yeux le samedi après-midi dans les rayonnages d'une FNAC. Le jeu de Nadeo ne boxe en réalité pas, mais alors pas du tout, dans cette catégorie. Prenant le contre-pied complet de la majorité des productions actuelles, les développeurs ont insisté sur l'aspect "fun" du jeu : la prise en main est immédiate, une partie se commence en quelques secondes et on prend plaisir à jouer dans la minute ! Alors bien sûr, Trackmania n'est pas exempt de reproches et il semble nettement plus intéressant pour les joueurs qui ont l'occasion de jouer en réseau via Internet ou, encore mieux, de faire des LAN entre amis.

En mode simple joueur, on s'amuse évidemment à améliorer sans cesse ses propres temps, on s'ingénie à mettre au point les circuits les plus incroyables, les plus rapides ou les plus torturés possible mais cela ne dure hélas qu'un temps et à moins d'avoir au moins la possibilité de comparer ses chronos avec des potes et d'échanger quelques circuits, on tourne en rond assez vite. En revanche, dès lors que l'on a la possibilité de jouer à plusieurs ou de troquer des circuits, le jeu prend une dimension toute particulière. Il est d'ailleurs bien rare de trouver un jeu PC qui génère autant de rigolades lors des parties. On regrettera tout de même que Nadeo n'ait pas décidé d'offrir encore plus d'options (choix de voitures plus élevés, décors plus variés...) et de nombreux joueurs reprocheront à coup sûr l'absence de mode "collision". Injouable à plus de 4-5 participants, une telle option aurait tout de même permis de bien rigoler lors de parties à deux ou trois joueurs ! Ne désespérons cependant pas car si le succès est au rendez-vous, l'aventure Trackmania pourrait bien ne faire que commencer : on trouve déjà de nombreux circuits sur les sites de fans et il s'agit typiquement du concept que l'on peut enrichir à volonté !

Le titre le plus amusant à jouer depuis bien longtemps !


Trackmania

8

Les plus

  • Excellence du mode réseau
  • Editeur de circuits complet
  • Prise en main immédiate

Les moins

  • Pas de collision entre les voitures
  • Pas de mode ''écran splitté''

0

Réalisation6

Prise en main10

Durée de vie9

Nerces

Spécialiste Hardware et Gaming

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Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

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Commentaires (1)

dvaid
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