Il n’y a pas que dans le secteur du jeu vidéo que Microsoft effectue des rachats. Il y a quelques jours, la firme de Redmond a annoncé faire l’acquisition de Miburo, une start-up spécialisée dans la cybersécurité.
Avec Miburo, Microsoft signe sa cinquième acquisition dans le domaine de la sécurité numérique en l’espace d’une année.
Miburo rejoint les rangs de Microsoft
La cybersécurité réside parmi les plus grandes préoccupations de Microsoft. Pour preuve, en 2021, le géant américain s’entourait déjà RiskIQ, ReFirm Labs, CyberX et CloudKnox. Un peu moins d’un an après sa dernière acquisition, voilà que Microsoft vient d’annoncer le rachat d’une nouvelle société spécialisée dans l’analyse et la recherche de cybermenaces.
Connue sous le nom de Miburo, cette start-up, dirigée et fondée par un certain Clint Watts, rejoindra la branche Customer Security and Trust de Microsoft. Concrètement, celle-ci aura pour principal objectif d’aider la firme de Redmond à étendre ses capacités de détection des menaces dans l’optique de faire face aux nouvelles cyberattaques. Qualifiée de « société experte dans l'identification des opérations d'information étrangères », celle-ci dispose d’équipes capables de détecter et d’attribuer les campagnes d’influence malveillantes dans 16 langues. Voici ce qu’a déclaré Microsoft au sujet de ses intentions quant à cet accord :
Avec l'acquisition de Miburo, nous poursuivrons notre mission d'agir et de nous associer à d'autres acteurs des secteurs public et privé pour trouver des solutions de long terme qui empêcheront les adversaires étrangers de menacer les clients de ces secteurs [...].
Quoi qu'il en soit, il semble évident que la firme de Redmond est bien déterminée à poursuivre ses efforts en matière de cybersécurité. Et il y a d'ailleurs fort à parier qu'elle n’en ait pas encore terminé.
Source : WebProNews
Amateur de séries, de cinéma et de nouvelles technologies, c’est mon penchant pour le jeu vidéo qui a eu raison de moi. Me perdre entre Libertalia, les mers de Sea of Thieves et Kaer Morhen, telle est la vie que j’ai décidé de mener entre la rédaction de deux articles.
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