0
Pour Mininova, qui a du supprimer tous les torrents, y compris ceux licites, partagés par ses utilisateurs ordinaires, la sentence est immédiate : le nombre de visiteurs et de recherches par jour sont en chute libre, tandis que les téléchargements sont en berne, faute de contenus. De plus de 10 millions de téléchargements quotidiens, le nombre de téléchargements est ainsi tombé à 370 000 et des poussières vendredi dernier. En attendant que tous les internautes n'apprennent la nouvelle, le nombre de visiteurs quotidien est passé de 6 à 1,8 millions en 10 jours, le nombre de recherches de 10 à 3 millions.
Un nouveau coup d'épée dans l'eau ? Les internautes se sont en tout cas immédiatement adaptés, à en croire le trafic de plusieurs fournisseurs d'accès à internet qui n'auraient pas constaté de baisse majeure du trafic au cours de la dernière semaine. « Je n'ai remarqué aucune réduction du trafic BitTorrent quand The Pirate Bay a été fermé. Je vois mal pourquoi il devrait y avoir un changement significatif suite à la condamnation de Mininova, » a d'ailleurs déclaré l'ingénieur réseau d'un des principaux fournisseurs d'accès australiens à un site internet local.
Avertissement :
Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits. Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée. Plus d'informations sur le téléchargement illégal
Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits. Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée. Plus d'informations sur le téléchargement illégal