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Un organisme agréé par l'ICANN donne raison à Google dans l'affaire qui l'oppose à Sergey Gridasov, détenteur du nom de domaine GoogKle.com.
Google remporte sa bataille contre le "typosquatting", a indiqué la presse américaine dimanche.
Dérivé du cybersquatting, le typosquatting consiste à déposer un nom de domaine proche de celui utilisé par une entité ou une marque déposée.
L'objectif : Capter une part du trafic du site Internet officiel qui lui est destiné, en tablant sur une erreur de saisie de l'adresse dans la fenêtre du navigateur web par exemple : www.GooglKe.com, une adresse déposée par un certain Sergey GRIDASOV installé en Russie, à Saint-Pétersbourg.
La page d'accueil de GooglKe.com ouvrait automatiquement des fenêtres conçues pour exploiter une faille du navigateur web utilisée. Une fois la faille trouvée, virus informatiques en tout genre, "malwares", vers et chevaux de Troie, avaient le champ libre pour infecter le PC de l'infortuné internaute...
Le plus dynamique des moteurs sur Internet, l'américain Google, a décidé de porter l'affaire devant un organisme extra-judiciaire de règlement des litiges en matière de noms de domaine, le National Arbitration Forum (www.arb-forum.com).
Le médiateur agréé par la structure internationale de supervision des noms de domaine (ICANN) a demandé à ce que la propriété des suffixes GoogKle.com, GHoogle.com et GooLgle.com, soit transférée à la société Internet américaine.
Google remporte sa bataille contre le "typosquatting", a indiqué la presse américaine dimanche.
Dérivé du cybersquatting, le typosquatting consiste à déposer un nom de domaine proche de celui utilisé par une entité ou une marque déposée.
L'objectif : Capter une part du trafic du site Internet officiel qui lui est destiné, en tablant sur une erreur de saisie de l'adresse dans la fenêtre du navigateur web par exemple : www.GooglKe.com, une adresse déposée par un certain Sergey GRIDASOV installé en Russie, à Saint-Pétersbourg.
La page d'accueil de GooglKe.com ouvrait automatiquement des fenêtres conçues pour exploiter une faille du navigateur web utilisée. Une fois la faille trouvée, virus informatiques en tout genre, "malwares", vers et chevaux de Troie, avaient le champ libre pour infecter le PC de l'infortuné internaute...
Le plus dynamique des moteurs sur Internet, l'américain Google, a décidé de porter l'affaire devant un organisme extra-judiciaire de règlement des litiges en matière de noms de domaine, le National Arbitration Forum (www.arb-forum.com).
Le médiateur agréé par la structure internationale de supervision des noms de domaine (ICANN) a demandé à ce que la propriété des suffixes GoogKle.com, GHoogle.com et GooLgle.com, soit transférée à la société Internet américaine.
