0
Les seconds Etats généraux européens du nommage Internet se sont déroulés jeudi à Paris dans les locaux de la Fédération française du bâtiment.
Cette rencontre centrée sur la gouvernance de l'Internet a été organisée par l'Internet Society France (isocfrance.org), le Club informatique des grandes entreprises françaises (cigref.fr), la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (ccip.fr) et le Mouvement des entreprises de France (medef.fr).
Quelques 250 participants, parmi lesquels des représentants de l'organisme international de supervision d'Internet et de régulation des noms de domaine (ICANN - Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), se sont rassemblés afin de mieux appréhender les enjeux du nommage en ce début de 21ème siècle.
Selon une définition de l'AFNIC (Association française pour le nommage Internet en coopération), le système de nommage, dit DNS (Domain Name System), concerne à la fois "la gestion de l'espace international des suffixes d'adresses Internet, l'attribution de numéros de protocoles de communication et de numéros de réseaux IP - Internet Protocol - physiques."
Le DNS est, d'après les termes de Olivier ITEANU, Président des Etats généraux et membre de l'ISOC France, "un des standards qui constituent l'épine dorsale du réseau des réseaux."
Le programme des EG 2003 concernait des problématiques liées à la gouvernance européenne de l'Internet, la réforme de l'ICANN, les serveurs racines, les noms de domaine internationaux et les relations nord-sud.
A l'occasion de cette folle journée, Bernard BIGOT, Directeur de cabinet de Claudie HAIGNERE, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, a rappelé que "la bonne gouvernance de l'Internet, soit la responsabilité équitable et transparente de la gestion des noms de domaine et l'attribution des adresses IP, devrait incomber à une instance multilatérale et multinationale."
Les oreilles des autorités américaines vont encore siffler...
Cette rencontre centrée sur la gouvernance de l'Internet a été organisée par l'Internet Society France (isocfrance.org), le Club informatique des grandes entreprises françaises (cigref.fr), la Chambre de commerce et d'industrie de Paris (ccip.fr) et le Mouvement des entreprises de France (medef.fr).
Quelques 250 participants, parmi lesquels des représentants de l'organisme international de supervision d'Internet et de régulation des noms de domaine (ICANN - Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), se sont rassemblés afin de mieux appréhender les enjeux du nommage en ce début de 21ème siècle.
Selon une définition de l'AFNIC (Association française pour le nommage Internet en coopération), le système de nommage, dit DNS (Domain Name System), concerne à la fois "la gestion de l'espace international des suffixes d'adresses Internet, l'attribution de numéros de protocoles de communication et de numéros de réseaux IP - Internet Protocol - physiques."
Le DNS est, d'après les termes de Olivier ITEANU, Président des Etats généraux et membre de l'ISOC France, "un des standards qui constituent l'épine dorsale du réseau des réseaux."
Le programme des EG 2003 concernait des problématiques liées à la gouvernance européenne de l'Internet, la réforme de l'ICANN, les serveurs racines, les noms de domaine internationaux et les relations nord-sud.
A l'occasion de cette folle journée, Bernard BIGOT, Directeur de cabinet de Claudie HAIGNERE, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, a rappelé que "la bonne gouvernance de l'Internet, soit la responsabilité équitable et transparente de la gestion des noms de domaine et l'attribution des adresses IP, devrait incomber à une instance multilatérale et multinationale."
Les oreilles des autorités américaines vont encore siffler...
