Concurrente directe de la Microsoft Surface, la « Dell XPS 10 » adopte une configuration similaire pour un peu moins cher.
Ainsi elle dispose elle aussi d'un écran HD (1366 x 768 pixels) tactile de 10,1 pouces, pour un poids de 635 g (contre 680). Elle abrite un SoC ARM à CPU double-cœur, un Qualcomm Snapdragon S4 cadencé à 1,5 GHz, plutôt qu'un Nvidia Tegra 3 à quatre cœurs, mais ces deux puces offrent globalement les mêmes performances. Le stockage est lui aussi confié à 32 ou 64 Go de mémoire eMMC en fonction du modèle, et un logement microSD permet d'étendre cette capacité de 64 Go.
On retrouve la connectivité habituelle, avec du Wi-Fi N, du Bluetooth 4.0, un modem 4G LTE en option, un port micro USB client mais aussi hôte et un connecteur propriétaire pour station d'accueil ou adaptateur HDMI. Un capteur dorsal à 5 millions de pixels et un capteur frontal à 2 millions de pixels, restituant de la HD 720p à 30 i/s, assurent prises de photos et visio. Sa batterie de 28 Wh lui confère une autonomie non communiquée.
L'ensemble repose donc sur Windows RT, la variante ARM de Windows 8, qui inclut la suite bureautique Office 2013 mais ne permet d'exécuter que les logiciels Modern UI du Windows Store, pas les logiciels traditionnels.
La tablette « Dell XPS 10 Essential », avec 32 Go de mémoire mais pas de clavier-station d'accueil, est vendue 480 euros, soit 10 euros de moins que la Microsoft Surface équivalente. La « XPS 10 Gold », avec 32 Go et le clavier-station d'accueil, est vendue 650 euros. C'est 60 euros de plus que la Surface équivalente, mais son clavier est tactile, et non physique, et il n'offre ni connectiques, ni batterie supplémentaire.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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