L'organisation américaine du film aurait surveillé "illégalement" TorrentSpy, moteur de recherche de fichiers distribués à l'aide du protocole P2P BitTorrent.
Valence Media, la société qui édite le site TorrentSpy, spécialisé dans le recensement et la diffusion de liens BitTorrent, accuse la MPAA (Motion Picture of America) d'avoir eu recours aux services d'un hacker pour pénétrer ses secrets. L'association qui défend les intérêts d'Hollywood aurait même rémunéré ce pirate 15 000 dollars, pour récupérer des renseignements confidentiels sur les activités de TorrentSpy. Valence Media a déposé une plainte, la MPAA nie les faits.
Bearshare a annoncé hier un accord passé avec la RIAA (Recording Industry Association of America), l'association chargée de protéger les droits des maisons de disques. Cet accord vient régler le différend qui opposait la RIAA à la firme Free Peer créatrice de Bearshare. La RIAA, suite au verdict du procès Grokster (voir la brève Peer To Peer : Grokster a perdu son procès !), a lancé il y a plus d'un an une vague de plaintes contre plusieurs services d'échange de fichier, parmi lesquels on peut citer Bearshare mais aussi eDonkey, Limewire ou Soulseek.
Les studios hollywoodiens Warner Bros viennent d'annoncer la signature d'un accord avec la société Bittorrent, éditrice du logiciel de peer-to-peer du même nom, dans le but de distribuer films et séries TV par ce canal de diffusion. Cette annonce fait suite à l'accord signé en novembre dernier entre Bittorrent et la MPAA (Motion Picture Association of America), en vertu duquel le premier s'engageait à lutter activement contre le piratage (voir l'actu : P2P : BitTorrent s'associe à la MPAA).
Après Napster devenu légal, c'est au tour de Bit Torrent de s'associer à Hollywood en annonçant des accords avec la MPAA et les studios Warner Bros
Inscrite au projet droit d'auteur, la répression de l'édition de logiciels "destinés au téléchargement illégal" menace les fondements d'Internet, alerte l'AFA.
A l'heure où le 'droit d'auteur' fait débat au Sénat, des députés PS dénoncent, en ligne, un texte inspiré de "la philosophie sécuritaire, liberticide de l'UMP"
Dans une étude publiée hier, la Motion Picture Association of America (MPAA) qui regroupe les principaux studios hollywoodiens, évalue la portée du piratage des œuvres cinématographiques, sous toutes ses formes, à 6,1 milliards de dollars de pertes pour 2005. Les chiffres de cette étude ont été obtenus par le cabinet LEK Consulting LLC pour le compte de la MPAA.
Après avoir mené campagne anti-piratage l'an dernier sur le vieux continent, l'Ifpi lance de nouvelles actions contre le téléchargement illégal en Europe.
Selon la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI), quelque 2 000 nouvelles procédures ont été ouvertes dans dix pays contre des internautes accusés de télécharger illégalement des œuvres musicales sur Internet. La France n'est pas concernée par cette nouvelle offensive, qui porte à 5 500 le nombre de personnes poursuivies par l'IFPI dans 18 pays. Ces chiffres ne couvrent pas les Etats-Unis, où la lutte contre le piratage musical est assurée par la Recording Industry Association of America (RIAA).
Juriste nouvelles techniques à la Spedidam et coordinateur de l'Alliance public-artistes, M. Thoumyre réagit au vote des députés sur le projet 'droit d'auteur'.
Pas de vote express : La décision des députés sur le projet 'droit d'auteur et droits voisins dans la société de l'information' sera rendue mardi 21 mars.
A la veille de la reprise des débats sur la loi DADVSI, la Spedidam a décidé de marquer les esprits en attaquant en justice les 6 principaux kiosques de téléch
Souvenez-vous, il y a un an, «la puissante MPAA » (association chargée de défendre les droits des grands studios hollywoodiens) se lançait dans une vaste opération de chasse aux sorcières, laquelle visait les sites qui proposaient des liens BitTorrent pour télécharger des films protégés par les droits d'auteur. Résultat, sous la pression judiciaire, bon nombre de sites comme Suprnova ou Lokitorrent (voir les brèves suivantes : La MPAA s'attaque aux bittorrents de séries TV, Encore un site BitTorrent fermé par la MPAA) avaient fermé leurs serveurs.
Repoussée à deux reprises, l'audition à l'Assemblée nationale du ministre de la culture sur le DADVSI a finalement eu lieu mercredi 22 février 2006.
Reconnu coupable d'incitation au piratage par le biais de Kazaa, le propriétaire australien du logiciel P2P dispose de 5 jours pour convaincre en appel.
Interrompu le 23 décembre dernier, l'examen parlementaire du polémique projet de loi sur le 'droit d'auteur' (DADVSI) devrait reprendre mardi 7 mars 2006.
Les internautes pourront visionner mercredi l'audition devant la commission d'enquête, du juge d'instruction dans l'affaire de pédophilie d'Outreau.
La Ligue dénonce les mesures envisagées dans un rapport qui aurait été établi par le ministère de la culture à propos du projet de loi "droit d'auteur" (DADVSI)
L'association des éditeurs de logiciels, BSA (pour Business Software Alliance), se félicite aujourd'hui de la condamnation, le 17 janvier dernier, d'un individu connu sous le pseudonyme de « Dany Corsica ». Le tribunal correctionnel de Bastia a en effet condamné cette personne à 24 mois de prison dont neuf avec sursis. L'intéressé a été reconnu coupable de créer et maintenir plusieurs sites web proposant en téléchargement des milliers de logiciels complets de renom (Adobe, , Microsoft, etc.) avec les cracks permettant de contourner leurs protections. L'auteur du site 2bcalvi.com tirait qui plus est un bénéfice substantiel de son activité grâce aux revenus générés par la publicité présente sur ses pages.
Dans une lettre ouverte, des musiciens de jazz se prononcent "pour la dépénalisation du téléchargement en P2P et l'application d'une licence globale."
A l'occasion du MIDEM, GfK publie une étude établissant que plus de 1 milliards de fichiers ont été téléchargés sur les réseaux peer-to-peer en 2005
Dès l'ouverture du Midem 2006, le ministre de la culture, initiateur du projet de loi 'droit d'auteur', a confirmé son rejet du principe de licence globale.
Il y a quelques jours, les nouveaux amendements proposés par le ministère de la culture concernant la loi DADVSI étaient publiés (voir cette brève). Des amendements qui n'ont visiblement pas suffit à calmer la polémique autour de cette loi. Du coup, c'est le premier ministre lui-même qui aurait décidé de se charger du dossier.
Le ministère de la culture affirme que l'on trouve désormais via Internet "plus de titres en offre légale que dans les plus grands magasins de disques en France
Le projet 'droit d'auteur' sera amendé pour favoriser "une offre légale diversifiée de musique et de cinéma en ligne", a indiqué le ministère de la culture.
Avant la reprise des débats parlementaires sur le projet 'droit d'auteur', le ministre, président de l'UMP, se prononce contre le principe d'une licence globale.
Selon la section Internet du PS, les amendements au projet 'droit d'auteur' imposent aux opposants à la licence globale un changement de discours.
Alors que l'on peut craindre le pire depuis plusieurs semaines, les discussions sur la loi « DADVSI » dans un hémicycle quasiment vide ont été le théatre d'une surprise de taille peu après 23h : deux amendements déposés l'un par le groupe UMP et l'autre par le groupe PS ont été votés par 30 députés contre 28 (rappelons au passage que l'Assemblée Nationale est composée de 577 députés dont 354 UMP).