Les optiques de type L sont à la photo (pour les « canonistes ») ce que les Ferrari ou les Lamborghini sont à la voiture : le nec le plus ultra. Ces optiques dont le L signifie « Luxe » sont ainsi développées à l'attention des professionnels à la recherche d'objectifs très qualitatifs et bénéficiant d'une étanchéité à la poussière et à l'humidité.
Steve Sasson, un ingénieur de chez Kodak, vient de recevoir les honneurs de la Consumer Electronics Association qui l'a intégré à son « Hall of Fame ». Pourquoi cette association, qui remet régulièrement des récompenses dans le domaine de l'électronique, s'est-elle intéressée à cette personne ?
Il est parfois des appareils hybrides que l'on ne soit trop à quelle catégorie de produits relier. Le HDMS-S1D - sorte de cube muni d'une riche connectique - est de ceux-là. L'objet est en fait une sorte d'album photo numérique équipé d'un disque de 80 Go destiné au stockage de nos photos. Le HDMS-S1D n'est pour autant pas un disque dur classique puisqu'il prétend nous aider à archiver et organiser nos clichés mais également à en profiter plus facilement au moyen de diaporamas.
Olympus a aujourd'hui mit fin à un long suspens en dévoilant enfin son nouveau reflex semi-professionnel, le E-3. Ce boîtier, qui vient en remplacement du E-1, remet au goût du jour deux caractéristiques essentielles, à savoir le capteur qui passe de 5,1 millions de pixels à 10,1 et le module autofocus passe de 3 collimateurs à un système de 11 collimateurs croisés. Cette dernière caractéristique permet d'envisager une utilisation pour de la photo sportive (ce qui n'était pas le cas pour le prédécesseur du E-3) et ce même si la cadence d'acquisition est de « seulement » cinq images par seconde en JPeg et une en Raw.
Les photos floues sont un peu comme les feuilles mortes : il est des périodes - en particulier lorsque l'on débute -, où on les ramasse à la pelle. Pourquoi tant de ratés s'étonneront nombre d'entre vous, et comment faire pour y remédier ?
Les photos floues sont un peu comme les feuilles mortes : il est des périodes - en particulier lorsque l'on débute -, où on les ramasse à la pelle. Pourquoi tant de ratés s'étonneront nombre d'entre vous, et comment faire pour y remédier ? Il suffit pourtant de quelques connaissances concernant son appareil et quelques règles simples pour réduire considérablement le taux de flous. Sans compter qu'une photo aux contours vagues peut avoir un charme certain... Bref, ne vous laissez pas impressionner par les résultats parfois décevants des débuts et suivez-nous dans ce guide qui va vous aider à mieux contrôler la mise au point et, dans son sillage, la netteté et les causes du flou.
La taxe sur le mode vidéo des appareils photo, dont la rumeur est apparue en début d'année et qui a ensuite été confirmée en juillet dernier, vient de faire l'objet d'un adoucissement. Critiquée par les constructeurs en raison de la majoration de prix qu'elle les aurait conduits à appliquer (4,9 %, c'est-à-dire le même taux que celui appliqué aux caméscopes), cette taxe a finalement vu ses conditions d'application adoucies suite aux revendications de la CIPA (Camera and Imaging Products Association).
Quel sera le futur de l'imagerie numérique ? Par la voix d'un de ses chercheurs, Dave Story, répondait en fin de semaine dernière à cette question en présentant l'état de ses recherches dans le domaine. Trois pistes sont à l'étude :
Pentax ajoute aujourd'hui deux nouveaux modèles à ses gammes de compacts : l'Optio V10 qui s'adresse à ceux qui cherchent un appareil fin et facile d'utilisation, et l'A40 qui offre plus de fonctions avancées tant au niveau des modes que des réglages et qui fait sien à son tour le nouveau capteur de 12 millions de pixels.
Écran tactile et boîtier ultra-fin : voilà quelques caractéristiques que l'on commence à voir de droite et de gauche et qui pourraient se généraliser. Dans la lignée des Sony Cyber-Shot DSC-N2 et Pentax Optio T30, voici un nouveau compact qui obéit au doigt : le BenQ T800. Cette caractéristique n'est toutefois pas une première chez BenQ qui a déjà à son actif le T700 annoncé en mai dernier et dont le T800 qui nous occupe ici n'est somme toute qu'une évolution.
Spécialiste du compact petit prix, BenQ n'oublie pas de temps en temps de proposer des modèles assez aboutis aux utilisateurs qui souhaitent autre chose qu'un simple « point and shoot » automatique. Le E1000 qu'il propose s'équipe ainsi des modes priorité et manuel nécessaires pour gérer l'exposition et jouer sur la profondeur de champ et le temps de pose. Autre caractéristique qui retient l'attention : l'écran qui opte pour une diagonale de 3 pouces au lieu des 2,5 pouces qui sont encore la norme, mais également l'enregistrement vidéo en 848 x 480 pixels que l'on retrouve par ailleurs sur des modèles tels que les Casio Exilim EX-V8 et EX-Z1080 de Casio ou encore les FX55 et FX33 de Panasonic. Ces caractéristiques, toutes intéressantes, ne peuvent toutefois pas faire oublier l'absence d'une vraie position grand-angle qui aurait permis de photographier avec du recul ou encore celle d'un stabilisateur optique qui aurait pour sa part agit sur les flous de bougé.
Après les nouveautés Nikon appartenant aux gammes L (pour « Ludique ») et P (pour « Performant »), place aux modèles stylés ! Les compacts de la série S sont comme les L des appareils simples d'utilisation mais qui portent plus loin le souci de l'apparence. Avec cinq nouveaux modèles, on peut dire qu'il y en a pour tous les goûts (du côté des coloris notamment) et pour tous les budgets, ces compacts s'échelonnant de 179 euros pour le S200 à 299 euros pour le S51c équipé d'un module de transmission Wi-Fi.
Les compacts Nikon se divisent en trois gammes - les L pour « Ludique », S pour « Stylé » et P pour « Performant » -, toutes largement renouvelées à l'occasion de la rentrée. Quoi de neuf donc du côté des modèles simples et bon marché qui correspondent à la famille des L ? Deux appareils - les Coolpix L14 et L15 - qui viennent rejoindre le L11 annoncé en février et maintenu dans la gamme. Les L14 et L15 héritent de plusieurs technologies maison, à savoir :
Sony a aujourd'hui mit fin à un suspens qui n'aura que trop duré aux yeux des ex-Minoltistes. Depuis le début 2006, période à laquelle le géant de l'électronique japonais a repris l'activité reflex de Konica Minolta, seul un modèle (le DSLR-A100) avait vu le jour.
Même s'il ne figure pas parmi les grands noms du secteur, Casio compte toutefois parmi les constructeurs qui font la tendance : appareils au format « carte de crédit », capteur d'une résolution élevée (il a été le premier à passer le cap de 10 millions de pixels avec l'EX-Z1000), accent mis sur la vidéo avec des enregistrements au moyen du puissant codec H.264 (voir cette brève), etc. Avec le prototype de bridge qu'il vient de dévoiler, s'apprête-t-il encore une fois à ouvrir une nouvelle voie dans laquelle les autres le suivront ?
Pour ses modèles de rentrée - bridge et compacts numériques - Kodak a fait le choix de miser sur la vidéo avec des enregistrements HD en 720p à 30 i/s. Pour renforcer cette orientation vidéo, le constructeur (qui est également le spécialiste de la station d'accueil pour les imprimantes) annonce cette fois une station destinée à faciliter le dialogue entre l'appareil photo et le téléviseur. Cette station dispose d'un lecteur de cartes SD, d'un port USB et d'une sortie composante qui permettra de la relier à l'écran plat. La station d'accueil EasyShare HD sert également d'intermédiaire lorsqu'il s'agit d'imprimer (vous pouvez y connecter une imprimante) et de charger les appareils compatibles que l'on pose sur son socle. Elle sera disponible en octobre au prix de 99 euros.
Après le DMC-L1 - un reflex atypique qui était aussi le premier de la marque -, voilà Panasonic qui récidive avec le DMC-L10, un modèle cette fois plutôt destiné aux débutants issus du monde du compact numérique.
Après ses nouveautés en matière de reflex avec les D300 et D3, Nikon se consacre au rafraichissement de ses gammes de compacts, des modèles les plus avancés appartenant à la catégorie P jusqu'aux appareils les plus simples et les meilleur marché.
Avec les nouveaux Exilim EX-V8 et EX-Z1080 continue sur la lancée des compacts « tendance ». Même si l'un vise plus les utilisateurs avertis, aucun des deux ne fait l'impasse sur la finesse du boîtier, la simplicité d'utilisation et le mode vidéo qui bénéficie d'une résolution élevée et d'un codec de compression puissant.
Tous les semestres environ, Ricoh rafraichit ses gammes en proposant une évolution des modèles à son catalogue. La série des R continue donc avec le R7 qui vient en remplacement du Caplio R6 annoncé en mars dernier. Le R7 reprend les principales caractéristiques qui ont fait le succès de la série, à savoir : un stabilisateur mécanique, un zoom puissant, un objectif grand angle et un mode macro jusqu'à 1 cm, le tout dans un boîtier très compact.
Olympus dispose de plusieurs gammes de compacts numériques, notamment la série des « SW » qui regroupe des appareils étanches et résistants aux chocs (voir le Mju 790 SW), celle des Mju qui se caractérise par une résistance aux intempéries et celle des « FE » qui regroupe des appareils simples et bon marché.
Adepte des compacts résistants, Olympus annonce un nouveau modèle qui bien qu'appartenant à la catégorie des baroudeurs, n'oublie pas de soigner son apparence. Son mju 790 SW reprend ainsi une partie des caractéristiques du mju 770 SW tout en s'offrant un boîtier plus stylé, décliné en silver, bleu saphir, abricot et vert citron.
En marge des gros renouvellements de gamme des Canon, Nikon et autres Olympus, Pentax se contente pour le moment de faire sa rentrée au moyen deux nouveaux compacts numériques : les Optio Z10 et S10.
Premier à avoir équipé un bridge (le SP-550UZ) d'un objectif d'une amplitude focale de 18 x, Olympus le remplace par le SP-560 UZ, un modèle très proche sur le papier mais qui apporte toutefois quelques changements.
Alors que les grondements se faisaient plus forts dans les rangs des nikonistes, Nikon vient d'emboîter le pas à Canon en équipant son nouveau reflex professionnel d'un capteur plein format (c'est-à-dire de mêmes dimensions que la pellicule 24 x 36 mm qui tient lieu de référence).
Après deux années de bons et loyaux services, le Nikon D200 tire sa révérence pour laisser place au D300. Positionné sur le créneau des reflex amateurs / experts, le D300 reprend les principales caractéristiques de son prédécesseur tout en apportant plusieurs nouveautés dans l'air du temps.
Après Panasonic avec ses TZ2 / TZ3 et hier Canon avec son PowerShot SX100 IS, c'est au tour de Sony d'investir le créneau du compact polyvalent et peu encombrant, avec zoom puissant d'une amplitude de 10 x.
