Il ne s'agit pas d'une enquête sur d'éventuelles pratiques d'abus de position dominante mais d'une évaluation du secteur. L'Autorité de la concurrence annonce qu'elle vient de s'autosaisir dans le but de mener une enquête portant sur les pratiques publicitaires visant à utiliser les données des internautes.
De 5 emplacements publicitaires, dans le menu Démarrer, Microsoft a décidé de passer à 10. Les fabricants OEM pourront donc afficher 10 « tuiles » promotionnelles, menant soit vers des applications préinstallées sur son PC, soit vers d'autres applications disponibles sur le Windows Store. Cette nouveauté fera son apparition avec la mise à jour « Anniversaire ». En contrepartie, le nombre de logiciels statiques sera rabaissé de 17 à 12.
Payer des articles de presse, quelle drôle d'idée ! Ce modèle économique évident avant Internet revient sur le devant de la scène, cette fois, à l'initiative d'Adblock Pus, qui s'est associé à Flattr.
YouTube annonce qu'il va déployer de nouveaux formats publicitaires spécifiquement destinés aux smartphones. Pour visionner une vidéo depuis un appareil mobile, la plateforme imposera régulièrement des contenus sponsorisés plus courts que les réclames traditionnelles. Ces publicités devraient en effet durer jusqu'à 6 secondes au maximum.
Google réfléchit avec plusieurs médias européens à la possibilité de bloquer nativement certaines publicités directement au sein de son navigateur Chrome. Les plus intrusives et donc, agaçantes pour l'internaute sont visées. L'ambition du numéro 1 mondial de la publicité est de rendre « inutile » l'installation de bloqueurs de publicités, qui s'en prennent surtout aux formats intrusifs, tout en pouvant laisser passer la pub « acceptable ».
Une étude montre que 94% des Français sont contre les encarts publicitaires sur smartphone. Derrière cette majorité écrasante de mécontents se cache pourtant 9% de Français qui cliquent régulièrement sur ces bannières.
Les services de la Répression des fraudes vont scruter de plus près les relations entre annonceurs publicitaires et les YouTubeurs. La DGCCRF a annoncé qu'elle mène actuellement des investigations au sujet des pratiques de ces éditeurs de contenus. Elle cherche ainsi à savoir si certains messages ou vidéos publiées par ces personnes ne sont en réalité pas des publicités.
Google creuse un peu plus la tombe du lecteur Flash et annonce une migration vers des bannières entièrement codées en HTML5.
Google n'apprécie pas trop les bloqueurs publicités et vient de retirer du Play Store celui proposé par Samsung depuis quelques jours.
Le 50ème Super Bowl se déroulera à San Francisco dimanche prochain. Pour la première fois, le montant des publicités totalisera un chiffre de 377 millions de dollars (soit 346,7 millions d'euros).
Rempart des internautes contre la pub, c'est l'ennemi juré des sites qui en vivent. Adblock Plus tente de faire la paix, en proposant une réflexion commune sur le concept de pub « acceptable ».
Les utilisateurs de smartphones Samsung sous Android 5.0 (et bientôt 4.x) peuvent à présent bloquer la publicité avec Adblock Fast, à condition d'utiliser le navigateur Samsung Internet.
Les opportunités offertes par les réseaux sociaux et les smartphones ont contribué à accroître les budgets des marques en matière de publicité en ligne en 2015. Une tendance qui s'est accélérée.
Google a publié son rapport annuel portant sur ses efforts visant à sécuriser son réseau publicitaire.
Apple a finalement choisi de revoir ses ambitions sur le secteur de la publicité sur mobile et annonce la fermeture prochaine de son réseau iAds App.
Via son navigateur Asus Browser, le constructeur asiatique a décidé de bloquer la publicité sur ses smartphones Android. Toute la publicité ? Pas tout à fait.
Un sondage conduit par OpinionWay tente de dresser un rapide état des lieux de la publicité en ligne. Globalement, leur présence conduit peu à un achat sur Internet.
Les projets de Google se précisent en matière de streaming d'applications sur son moteur de recherche. La société entend les intégrer directement au sein des publicités.
L'organisme normatif de la publicité au niveau mondial, celui qui définit la largeur des bannières par exemple, a publié un mea culpa inattendu, en réponse au blocage de la pub.
En bref. Les mobinautes sont gênés par la pub, tout en lui reconnaissant une utilité.
Google annonce à ses annonceurs que son portail retournera bientôt des publicités plus ciblées auprès des internautes, lesquels seront suivis d'un site à l'autre.
L'arrivée d'iOS 9 inaugure une nouvelle API baptisée Content Blocking, qui permet aux développeurs de ne pas afficher certains types de contenus. Cela ouvre de nouvelles perspectives en termes de vitesse d'affichage des pages, mais inquiète également les éditeurs.
Alors que de plus en plus d'internautes et même de mobinautes bloquent la publicité, les dépenses des annonceurs continuent de croître sous l'effet du développement du mobile.
Mise à jour : La situation actuelle sur Youtube ne viendrait pas d'une intention de Google de punir les utilisateurs d'Adblock, mais d'un bug de la version 45 de Chrome. Le bug est connu depuis quelques jours déjà, et est lié à un problème de reconnaissance de l'application YouTube par le navigateur. Lorsque cette dernière est installée en même temps qu'un bloqueur de publicité, ce dernier n'a pas d'effet sur YouTube. A priori, tout devrait revenir à la normale lors d'un prochain correctif.
La publicité sur mobile va-t-elle connaitre une transformation ? Il semblerait en tout cas que la société Shine soit désormais prête à venir installer sa solution sur les serveurs des opérateurs téléphoniques.
La publicité en ligne est de moins en moins vue par les internautes, à en croire une étude d'Integral Ad Science. En France, plus de 56 % des annonces resteraient encore hors de vue.
A compter du 1er septembre, Chrome ne déclenchera plus automatiquement les éléments Flash de moindre importance, à commencer par les bannières publicitaires. Google invite annonceurs et éditeurs à se tourner vers le HTML5.
Le secteur de la publicité mobile reflète les usages des internautes, qui se déportent de l'ordinateur vers les smartphones et tablettes. Cela fait surtout les affaires de Facebook.
Après plusieurs années de débat, le standard Do Not track - DNT - implémenté au sein des navigateurs n'a pas grand intérêt. Un groupe d'organismes défendant la vie privée des internautes a décidé de se rassembler afin d'en revoir son implémentation.