Cette semaine notre sondage porte sur lele web payant.
Toutes les réclames n'ont pas vocation à générer des ventes immédiatement, c'est le cas par exemple des spots TV. Mais bientôt, il se pourrait que chaque format pub se transforme en véritable boutique.
Publicis met la main sur Sapient, une agence publicitaire américaine orientée vers le numérique. Ce rachat, signé pour 3,7 milliards de dollars, permet au français d'atteindre son but trois ans plus tôt.
Dailymotion veut rattraper son retard sur YouTube en matière d'achat programmatique. Le Français officialise ainsi DMX, son ad-exchange maison offrant de nouvelles opportunités pour les marques.
Un nouveau réseau de publicités vérolées vient d'être découvert. Ce dernier affecte au total 74 domaines et cible les utilisateurs de Windows et OS X.
De plus en plus d'internautes installent un adblocker sur leur navigateur pour se débarrasser des bandeaux et autres pop-up publicitaires. Pris à la gorge, les Webmaster cherchent à les déjouer et mettent en place des contre-mesures. Une vraie bataille technologique où tous les coups sont permis.
Dans le secteur de la publicité mobile, l'américain xAd entend devenir l'un des leaders, grâce à ses inventaires géolocalisés. Bientôt présente en France, elle vient de lever 50 millions de dollars.
Le service de musique en ligne va prochainement élargir son champ d'action dans la publicité grâce à la vidéo. Spotify va déployer ces nouveaux formats sur les postes fixes mais aussi sur les mobiles. Un utilisateur devra obligatoirement voir cette publicité, mais il bénéficiera en retour de 30 minutes d'écoute sans interruption.
Yahoo! souhaite renforcer ses stratégies dans le domaine de la publicité en ligne et rachète la jeune pousse Luminate.
Amazon entend concurrencer Google sur tous les fronts et le cybermarchand préparerait actuellement son propre service de publicité en ligne pour faire de l'ombre à Google Adsense.
Après avoir gagné une manche face à Google, la ferme de brevets Vringo perd finalement sa bataille judiciaire contre le géant américain. La justice estime que les technologies détenues par le plaignant sont trop évidentes et ne peuvent donc pas être protégées.
Les investissements publicitaires sur mobile étaient deux fois plus importants en 2013 que l'année d'avant. Toujours dominés par les liens sponsorisés, ils laissent peu à peu la place au display.
À l'instar de Facebook, Twitter va intégrer des vidéos publicitaires dans le flux d'actualité des utilisateurs. Mais contrairement à son rival, la lecture ne sera pas automatique.
Depuis son entrée à la bourse de New York à l'automne 2013, le français Criteo confirme trimestre après trimestre la solidité de sa croissance et sa capacité à percer dans le mobile et en Asie-Pacifique.
Après avoir ouvert ses offres publicitaires aux petites entreprises américaines ou encore japonaises, Twitter fait de même en France, où il permet aux PME de créer des comptes et tweets sponsorisés.
Dans un marché très concurrentiel, les opérateurs redoublent d'efforts pour être visibles auprès de nouveaux clients. Au risque que certaines publicités soient mal comprises par les consommateurs ou critiquées par les autorités.
En Allemagne, une plainte vient d'être formulée à l'encontre de la société AdBlock Plus. Des groupes de médias comme Pro Sieben Sat ou RTL Interactive reprochent au service son modèle économique.
Au fil des rachats, Opera se transforme en société mobile, vivant de la publicité. L'éditeur norvégien compte maintenant tirer profit du format vidéo, en s'offrant la régie spécialisée AdColony.
Déjà malmené, le standard Do Not Track reçoit un nouveau coup d'épée et ce dernier a été assené par Facebook qui s'appuiera sur l'historique de navigation de l'internaute afin de lui retourner de la publicité davantage ciblée sur son réseau.
Le français Criteo optimise son moteur de prédiction afin de diffuser des bannières pour les internautes dont il pense qu'ils sont enclins à acheter un bien ou un service après avoir cliqué sur une bannière.
La plateforme de microblogging Twitter et le groupe publicitaire Omnicom ont conclu un accord avec à la clé un contrat d'une valeur de 230 millions de dollars.
La publicité envahira-t-elle bientôt tous les objets de notre quotidien ? Google n'exclut clairement pas cette idée et perçoit de très fortes opportunités à venir pour l'Internet des Objets.
Le mariage entre Omnicom et Publicis est mort dans l'œuf. Les deux géants publicitaires n'ont pas réussi à résoudre des problèmes de management liés notamment à des différences « culturelles ».
Face aux faiblesses inhérentes à Do Not Track, l'EFF, l'Electronic Frontier Foundation, annonce la disponibilité d'une nouvelle extension pour les navigateurs Chrome et Firefox.
Face à la publicité ciblée, les autorités de régulation ne se sont toujours pas mis d'accord sur un standard permettant de mieux protéger les préférences de l'internaute. Yahoo! a finalement décidé de désactiver Do Not Track.
La société Google annonce qu'elle désactivera son mécanisme de scan automatique au sein de Gmail pour les détenteurs d'une souscription à Google Apps.
Opera Mediaworks, la division chargée de superviser la plateforme publicitaire d'Opera Software, annonce le rachat de la société allemande Apprupt.
La régie publicitaire mobile de Facebook prend forme. Celle-ci permettra bientôt aux annonceurs d'afficher leurs réclames plus seulement sur le réseau social, mais aussi sur des applications tierces.
L'agence Zebestof, spécialiste français de l'achat aux enchères et en temps réel de publicité en ligne, annonce avoir adapté le format habillage au retargeting et promet un taux de clic allant jusqu'à 3%.