Asus lance à son tour une GeForce GTX 750 fanless, idéale pour confectionner un ordinateur multimédia silencieux.
Asus occupe le terrain en multipliant les annonces en matière de cartes graphiques. C'est le 4e modèle qu'il présente en moins d'un mois, mais il ne se répète pas. Cette fois il lance une GeForce GTX 750 à refroidissement passif, succédant ainsi à Palit puis à Zotac.
Le fabricant vient de référencer un nouveau modèle sur son site Internet, répondant à la référence GTX750-DCSL-2GD5, avec le sigle DCSL de DirectCU Silent. C'est le nom d'un système de refroidissement fanless maison éprouvé, composé d'un dissipateur à ailettes en aluminium traversé par deux caloducs en cuivre nickelé qui sont directement en contact avec le GPU.
Asus profite de l'efficacité énergétique des puces Maxwell de Nvidia, la meilleure du marché, pour se passer purement et simplement de ventilateur. Jusqu'à présent il proposait une GTX 750 Ti OC Strix dont les ventilateurs s'arrêtaient en dessous de 50°C. Cette fois en s'en tenant à la GTX 750 tout court et aux fréquences de référence, c'est-à-dire à 1085 et 1020 MHz avec et sans Boost, il offre un refroidissement parfaitement silencieux. En réalité il conviendra d'aérer correctement le boîtier, mais on pourra le faire avec de grands ventilateurs quasi inaudibles à basse vitesse.
À défaut d'overclocking, le fabricant a doublé la quantité de mémoire vive. On trouve donc 2 Go de GDDR5 sur 128 bits et à 5010 MHz, un artifice essentiellement marketing car on utilisera plus volontiers cette carte graphique pour sa sortie HDMI 2.0 et son décodage du HEVC, c'est-à-dire pour l'Ultra HD, que pour lancer des jeux ultra détaillés réclamant plus d'un gigaoctet de mémoire.
Le prix et la date de lancement de cette Asus GTX750-DCSL-2GD5 fanless ne sont pas communiqués. Mais les cartes graphiques équivalentes de Palit et de Zotac se vendent environ 120 euros, et on peut s'attendre à ce qu'Asus vende la sienne un peu plus cher.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
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