Après Palit le mois dernier, c'est ce mois-ci au tour de Zotac de lancer une GeForce GTX 750 à refroidissement passif. Le fabricant a effectivement annoncé la semaine dernière l'édition « Zone » de ce GPU.
L'architecture Maxwell présente l'intérêt d'offrir un bon rapport performances/consommation. Les cartes GeForce GTX 750 et GTX 750 Ti sur lesquelles elle a été inaugurée offrent ainsi des performances honorables, à la hauteur de la plupart des derniers jeux vidéo, pour une consommation inférieure à 100 W. Or consommation réduite égale chauffe réduite, de quoi se passer en l'occurrence de ventilateur.
Tout comme les Palit KalmX, la Zotac GeForce GTX 750 Zone Edition se contente donc d'un dissipateur constitué d'ailettes d'aluminium relié au GPU et aux puces de mémoire par des caloducs en cuivre.
Le fabricant se permet malgré tout un overclocking anecdotique, puisqu'il pousse la fréquence native des 512 unités de calcul du GPU de 1020 à 1033 MHz (1,3%) et la fréquence Boost de 1080 à 1111 MHz (2,9%). Le 1 Go de mémoire GDDR5 s'en tient quant à lui à 5000 MHz. En contrepartie il faut s'attendre à ce que les phases de Boost soient plus courtes qu'avec des cartes graphiques ventilées, il n'est pas exclu que les fréquences soient réduites ponctuellement pour diminuer la température.
Une carte graphique idéale pour un HTPC Ultra HD 4K
Mais avec son GPU Maxwell, cette carte graphique convient aussi et surtout à la conception d'un ordinateur multimédia silencieux paré pour l'Ultra HD 4K, cette architecture assurant effectivement le décodage matériel du codec attitré de cette nouvelle ère : le HEVC.
La date et le prix de lancement de cette Zotac GeForce GTX 750 Zone Edition ne sont pas communiqués, mais on peut s'attendre à une mise en vente imminente à un tarif de plus ou moins 110 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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