Red by SFR ressuscite, d'une certaine manière, le concept du logo personnalisé des vieux Nokia, en proposant le service Pimp My Network.
Les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre : du temps des Nokia 3310 et consorts, les logos personnalisés faisaient fureur. Avec les sonneries, ils étaient l'un des seuls moyens de personnaliser un téléphone mobile.
Dans les magazines, des pages de publicité proposaient des pages entières de tels logos. En échange d'un SMS surtaxé, on pouvait remplacer le nom de l'opérateur sur l'écran d'accueil par une image monochrome de quelques pixels carrés : des palmiers, une pin-up, une voiture... De quoi briller en société.
SFR ressuscite ce concept, en proposant le service Pimp My Network aux abonnés Red. Le service est disponible depuis le mois d'avril mais l'opérateur ne l'a officialisé qu'hier, conjointement à l'option TV pour Red Fibre.
La finalité est la même que du temps des téléphones Nokia à écrans monochromes : remplacer le nom de l'opérateur. Pour « donner du style à son mobile », SFR propose de personnaliser le nom du réseau, qui selon les plateformes s'affiche en permanence à l'écran (notamment sur iOS). On peut donc remplacer SFR ou F SFR par son prénom par exemple, ou par le mot de son choix, dans la limite de 16 caractères.
Le service intervient au niveau du réseau, des relais qui indiquent quel opérateur ils représentent, et non au niveau du téléphone. L'opération est donc relativement lourde, elle implique le maintien d'une base de données, chaque changement est ainsi facturé 1 euro. Mais la personnalisation s'applique à n'importe quel téléphone dans lequel on insère sa carte SIM, sauf si on est connecté à une Femto ou en déplacement à l'étranger.
Le service est donc réservé aux clients Red by SFR et accessible dès à présent à cette adresse.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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