Acer prépare le lancement de l'« Iconia Tab A110 », une nouvelle tablette à écran de 7 pouces, successeur de l'A100 lancée il y a un an mais aussi et surtout réponse à la Google Nexus 7 fabriquée par Asus.
L'« Acer Iconia Tab A110 » est effectivement fort similaire à la tablette de Google, à quelques petites lacunes près, qu'elle compense avec quelques atouts.
On retrouve tout particulièrement les trois caractéristiques principales de la Nexus 7 : un écran d'une diagonale de 7 pouces (17,8 cm), un SoC Nvidia Tegra 3 et Android 4.1 Jelly Bean. Mais l'écran est de moins bonne qualité, TN et non IPS, il affiche une définition inférieure, WSVGA (1024 x 600 pixels) et non WXGA (1280 x 800 pixels), et la puce est cadencée à 1,2 GHz et non 1,3.
Comme celle de Google, la nouvelle tablette d'Acer embarque elle aussi 1 Go de mémoire vive, un capteur frontal mais pas de capteur dorsal. Mais il reste d'autres petites lacunes telles que l'absence de NFC, la capacité moindre de sa batterie (3420 contre 4325 mAh) et l'encombrement supérieur (11,4 mm d'épaisseur et 370 g contre 10,45 et 340).
En contrepartie, l'« Iconia Tab A110 » bénéficie d'un emplacement microSD et d'une sortie micro HDMI, contrairement à la Nexus 7, ce qui lui confère des capacités multimédia.
L'« Acer Iconia Tab A110 » est attendue à la rentrée, c'est-à-dire simultanément à sa rivale, au prix public de 200 euros en capacité de 8 Go. Exposée en début d'année au Computex, elle n'a pas encore été officialisée, bien qu'elle soit d'ores et déjà proposée en précommande chez certains marchands peu scrupuleux, qui l'ont ainsi entièrement révélée.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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