Acer lance finalement en France l'« Iconia Tab A100 », la variante 7 pouces de l'A500, cette dernière qu'il a lancée au mois d'avril, il y a déjà cinq mois, alors qu'il les avait toutes les deux présentées simultanément, en début d'année.
Cet écart s'explique en partie par la diagonale et la définition de l'écran, respectivement 7 pouces et WSVGA, qui requièrent Android 3.2 Honeycomb, la mise à jour élargissant enfin le champ d'action du système d'exploitation pour tablette de Google, qui n'est disponible que depuis fin juillet.
L'« Iconia Tab A100 » ne profite pas en revanche de l'ouverture aux nouvelles puces, puisqu'elle partage l'essentiel de sa fiche technique avec l'A500.
On retrouve donc un SoC Nvidia Tegra 2, comprenant pour rappel un CPU Cortex A9 bi-cœur cadencé à 1 GHz et un GPU GeForce, épaulé par 1 Go de mémoire LPDDR2, un capteur dorsal à 5 millions de pixels avec LED, un capteur frontal à 2 millions de pixels, et du Wi-Fi N, du Bluetooth 2.1 et du mini HDMI pour la connectique.
Sur le plan technique, l'« A100 » ne se distingue donc de l'A500 que par son stockage interne plafonné à 8 Go (contre 16 ou 32 Go), mais qui est cette fois extensible de 32 Go par le biais d'un emplacement microSDHC.
Avec des dimensions de 195 x 117 x 13,1 mm pour 410 g, Acer revendique une utilisation plus nomade avec la possibilité de la tenir à une seule main et de la glisser dans (certaines) poches.
L'« Acer Iconia Tab A100 » sera commercialisée en France d'ici la fin du mois d'août au prix public de 299 euros. Elle concurrencera ainsi l'Archos 80 G9, un peu plus encombrante mais aussi un peu moins onéreuse.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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