Test Netgear Nighthawk Mesh MK62 : plus simple le Wi-Fi, plus petit le routeur

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
09 septembre 2021 à 15h38
0
© Netgear
© Netgear

Nos tests de solutions Wi-Fi mesh se suivent et ne se ressemblent pas. En effet, à côté de son offre Orbi, Netgear dispose de modules plus compacts et plus discrets également adaptés à la norme Wi-Fi 6 : les Nighthawk MK62 et MK63. Logiquement, ils se destinent à des logements plus petits que l’Orbi RBK752 testé il y a quelques semaines… Encore que.

Netgear Nighthawk Mesh MK62
  • Bornes élégantes et compactes
  • Simplicité de mise en place
  • Simple d'ajouter des bornes
  • 1 port LAN par borne
  • Bonne couverture générale
  • Débits corrects à « courte » portée
  • Pas de port USB pour le partage de fichiers
  • Pas de contrôle parental intégré
  • Performances en retrait à « longue » portée
  • Bi-bande « seulement »

Netgear est ce que l’on peut appeler un poids lourd du secteur des produits réseau. Bien connu dans le monde de l’entreprise pour ses switchs administrables ou ses NAS par exemple, il dispose aussi de nombreux produits à destination des particuliers. C’est notamment le cas avec ses solutions Wi-Fi mesh dont l’objectif premier est de simplifier la couverture Internet sans-fil dans tout le logement, et ce, que vous disposiez d’un modeste appartement ou d’une vaste villa. Officiellement, le Nighthawk démarre sur la couverture d’au maximum 250 m², bien moins que les 350 m² de l’Orbi RBK752.

Un boîtier routeur compact et discret © Netgear
Un boîtier routeur compact et discret © Netgear

Fiche technique du Netgear Nighthawk Mesh MK62

Notez d’emblée que la couverture que nous venons d’évoquer n’est donnée qu’à titre indicatif. D’abord parce que cela dépend grandement de la configuration de votre logement. Ensuite parce que comme avec n’importe quelle solution mesh, l’intérêt du Nighthawk est d’être à « géométrie variable ». On peut ainsi se contenter du seul routeur MR60, mais aussi multiplier les satellites MS60 pour étendre la couverture Wi-Fi.

Le Netgear Nighthawk Mesh, c’est :

  • Processeur : Quadruple-cœur @ 1,5 GHz
  • Mémoire vive : 128 Mo de Flash et 256 Mo de RAM, non-extensible
  • Norme : Wi-Fi 6 AX, rétrocompatible 802.11a/b/g/n/ac
  • Wi-Fi mesh : Oui
  • Nombre de modules : un routeur et un ou deux satellites
  • Bi/Tri-bande : Bi-bande (2,4 GHz et 5 GHz)
  • Ports Ethernet : 1xWAN 1 GbE, 1xLAN 1 GbE sur le routeur ; 1xLAN 1 GbE sur le ou les satellites
  • Autre connectique : Non
  • Dimensions : 120 x 120 x 64 mm par borne
  • Poids : 285 grammes par borne
  • Alimentation : Externe
  • Ventilation : Non
  • Garantie : 2 ans
  • Prix et disponibilité : déjà disponible, à 249,99 € (2 modules, MK62), 349,99 € (3 modules, MK63) ou 129,99 € (satellite seul, MS60)

Si vous avez encore en tête la fiche technique de l’Orbi RBK752, vous noterez un certain décalage avec le MK62 qui nous intéresse aujourd’hui. Certes, le processeur semble assez proche, mais on s’attardera surtout sur le caractère bi-bande d’un produit plus « grand public », moins coûteux également. On notera aussi la plus nette compacité des modules (routeur ou satellites) que l’on pourra plus aisément intégrer un peu partout dans la maison.

Le MR60 est la borne « routeur » du kit : souligné de jaune, le fameux port WAN © Netgear
Le MR60 est la borne « routeur » du kit : souligné de jaune, le fameux port WAN © Netgear

Deux jolies petites boîtes très discrètes

En effet, alors qu’avec les Orbi, Netgear avait tenté de faire preuve d’originalité pour dissimuler les antennes dans un boîtier tout en hauteur, il s’est ici moins compliqué la vie. Le MK62 – ou MK63 dans sa version deux satellites – est un produit plus compact au sein duquel les antennes proposeront sans doute une portée plus faible. Au premier coup d’œil, on retient surtout qu’il se compose de deux petites boîtes toutes noires, toutes « mignonnes » d’à peine 12 centimètres de côté pour 6,4 cm d’épaisseur. Routeur et satellite adoptent un format rigoureusement identique et il sera donc très simple de les placer dans à peu près n’importe quelle pièce.

Attention en revanche car le poids est également très faible : à moins de 300 grammes le module, on est très loin des presque 900 grammes d’un Orbi RBK752. Cela permettra de les transporter sans difficulté et de les poser sur quelque chose de pas forcément très solide. En revanche, cela pèsera – sans mauvais jeu de mots – aussi sur leur stabilité. Nous avons ainsi noté qu’ils pouvaient avoir tendance à se laisser emporter par un câble réseau un peu raide. Dans l’absolu, cette compacité reste malgré tout une excellente chose et il est bon de souligner qu’elle n’entraîne aucune chauffe particulière : Netgear n’a d’ailleurs pas jugé utile d’intégrer de ventilateur.

Le Nighthawk MK63 est la version trois bornes (1 routeur + 2 satellites) © Netgear
Le Nighthawk MK63 est la version trois bornes (1 routeur + 2 satellites) © Netgear

En face avant, routeur et satellite sont remarquables de sobriété : la façade est dénuée de toute fioriture et seul subsiste le logo Nighthawk dans la partie inférieure ainsi qu'une LED d'activité sur le haut. Rien à signaler sur les côtés et quatre pieds relativement imposants sont placés sous la bête. On remarque aussi la présence du seul espace d’aération sous les modules : une large grille qui assure une bonne aération. Enfin, à l’arrière, on retrouve la connectique, très simple. Routeur et satellite disposent des mêmes options – un port LAN Ethernet RJ45 1 GbE et un port d’alimentation – avec toutefois un petit supplément pour le routeur : un port WAN Ethernet RJ45 1GbE.

Notez bien que les modules ont tous besoin de leur propre brique d’alimentation. Des briques d’ailleurs relativement imposantes si l’on juge par rapport à la taille du routeur ou du satellite. Le sans-fil se « limite » donc au seul Wi-Fi et pour alimenter tout ça, il sera nécessaire d’avoir une prise secteur à proximité. Rien de plus à dire sur le kit en général, si ce n’est qu’au fond du carton, Netgear livre un câble Ethernet de deux mètres catégorie 5E, bien suffisant pour le GbE dont est capable le routeur sur son port WAN.

La connectique est simplifiée à l'extrême, mais un port Ethernet est présent sur chaque borne © Netgear
La connectique est simplifiée à l'extrême, mais un port Ethernet est présent sur chaque borne © Netgear

Matériel pré-configuré, déploiement simplissime

Comme avec tous les produits mesh passés entre nos mains, la promesse de Netgear est celle d’un ensemble que même les plus néophytes des néophytes pourront mettre en place sans difficulté dans leur logement. Pour ce faire, Netgear pré-configure les modules de sorte que la phase d’installation se déroule sans réelle intervention de l’utilisateur et en un minimum de temps. Les choses passent cependant par la mise en place de l’application smartphone (Android / iOS) signée Netgear. À partir de là, il n’y a en réalité plus grand-chose à part suivre les différentes étapes depuis la déconnexion / reconnexion de la box, jusqu’au branchement et à l’identification des modules de notre MK62.

L'assistant de configuration est un modèle du genre : nous n'avons rien eu à faire ! © Nerces pour Clubic
L'assistant de configuration est un modèle du genre : nous n'avons rien eu à faire ! © Nerces pour Clubic

Un point que nous avions déjà soulevé au moment de tester l’Orbi RBK752 et qui n’est hélas pas exclusif à Netgear : il est indispensable de se créer un compte Netgear pour exploiter l’application smartphone. Il faut reconnaître que c’est un peu pénible de devoir se créer des comptes partout comme ça d’autant que ça ne sert à rien d’autre qu’à pister encore un peu plus les utilisateurs, mais bon, Netgear ne fait rien de pire que ses concurrents. Notez qu’il reste possible de ne pas se créer de compte et de passer par une configuration « à l’ancienne » sans application smartphone : c’est moins rapide et moins automatique, mais ça fonctionne bien.

Intégralement en français, l’application smartphone a le bon goût de vérifier le firmware à chaque lancement et ça tombe bien puisque notre produit – tout juste sorti de son carton – était loin d’être à jour. L’opération se fait, là encore, sans intervention de l’utilisateur, mais peut durer plusieurs minutes avant que le MK62 soit de nouveau opérationnel. Ensuite, en quelques étapes, l’application permet d’identifier les ports à relier, d’installer un ou plusieurs satellites en plus de la borne routeur et de mettre en place les premières sécurités : mot de passe du réseau Wi-Fi, nom et mot de passe de l’administrateur du système mesh.

Un peu limitées pour un expert, les informations sont parfaites pour un néophyte © Nerces pour Clubic
Un peu limitées pour un expert, les informations sont parfaites pour un néophyte © Nerces pour Clubic

L’installation achevée, l’application devient le « centre de contrôle ». Elle n’est plus nécessaire au fonctionnement de notre réseau Wi-Fi, mais permet de tout vérifier de manière très lisible pour le débutant. Diverses rubriques affichent les périphériques connectés, gèrent la sécurité du réseau et présentent les statistiques de débits. Il n’est pas possible d’associer un module du MK62 à une pièce précise pour simplifier la localisation et on regrette que l’IP des appareils connectés ne soit pas mis en avant. C’est le cas avec l’interface Web qui permet, donc, de se passer de la création d’un compte Netgear. Pour le reste, reconnaissons qu’elle est un peu spartiate.

L'interface Web ici en version « avancée »  © Nerces pour Clubic
L'interface Web ici en version « avancée » © Nerces pour Clubic

Sécurité étendue… mais pas de contrôle parental

On sent effectivement que Netgear n’attache pas une très grande importance à cette interface Web dans le cas d’un produit clairement destiné au grand public. Il est d’ailleurs amusant de noter que l’interface est encore moins « gaie » que celle de l’Orbi RBK752 testé il y a quelques semaines, avec encore moins de couleurs notamment. Pour le reste, on accède globalement aux mêmes options que sur l’application smartphone avec, peut-être, un confort plus important dans certains éléments de gestion comme les plannings d’utilisation sur la semaine.

Les options et les possibilités de paramétrages sont en retrait, mais... c'est le but ! © Nerces pour Clubic
Les options et les possibilités de paramétrages sont en retrait, mais... c'est le but ! © Nerces pour Clubic

À ce sujet, précisons que l’interface reprend à son compte certains des éléments que l’on a plus l’habitude de retrouver sur les interfaces des routeurs Netgear « classiques » sans toutefois atteindre le niveau de richesse fonctionnelle aperçu sur les derniers modèles, signés Asus notamment. Ici, deux modes sont disponibles, « basique » et « avancé », avec pour ce dernier davantage d’options. On y retrouve donc par exemple tout ce qui permet de gérer le DHCP ou l’accès aux DNS. Plus important, c’est ici – et seulement ici – que l’on pourra activer ou désactiver le Wi-Fi Multimedia Quality of Service afin de prioriser les usages.

Puisque nous parlons des options disponibles, il est bon de souligner qu’il est ici impossible de réunir port WAN et port LAN comme ce fut le cas sur l’Orbi RBK752 : cela permettait de profiter de débits plus importants, mais compte tenu de la cible du Nighthawk MK62, ce n’est ni une surprise ni un problème. Sur l’interface Web, les options dites de « sécurité » sont aussi plus nombreuses et plus complètes. Alors que l’application smartphone se limite au blocage de telle ou telle machine, sur l’interface Web on peut ajouter le blocage de certains sites, certains contenus. En revanche et nous regrettons toujours ce choix de Netgear, le contrôle parental n’est pas présent.

Une gestion à la semaine, mais pas de contrôle parental directement intégré © Nerces pour Clubic
Une gestion à la semaine, mais pas de contrôle parental directement intégré © Nerces pour Clubic

Nous nous en faisions déjà la remarque au moment de tester l’Orbi RBK752 et, hélas, Netgear n’a pas changé son fusil d’épaule. Le constructeur se repose donc toujours sur une application externe – Circle – à laquelle nous n’avons pas eu accès récemment. De nos précédents tests, nous gardons en mémoire un programme tout à fait capable, mais nous ne comprenons pas ce choix de Netgear. Alors que le Wi-Fi mesh a pour vocation à être le plus accessible possible, devoir passer par une application externe pour une fonction aussi importante que le contrôle parental à la maison n’est pas seulement étrange, c’est ce que nous appelons une lacune.

Un routeur, aussi performant soit-il, ne fera jamais de miracle sur une connexion faiblarde © Nerces pour Clubic
Un routeur, aussi performant soit-il, ne fera jamais de miracle sur une connexion faiblarde © Nerces pour Clubic

Des débits corrects, une couverture intéressante

Comme avec n’importe quelle solution mesh destinée au grand public, l’objectif de Netgear n’est pas de nous proposer des débits « délirants ». D’ailleurs, il convient de bien comprendre que les satellites échangent entre eux sur la bande des 5 GHz. Ce faisant – bi-bande oblige – cette bande est plus largement embouteillée qu’avec une solution tri-bande comme l’Orbi RBK752. Dans les faits, nous n’avons rencontré aucun problème de saturation lors de nos essais, mais ça reste une limitation importante à connaître.

Si besoin, ajouter une troisième borne se fera le plus simplement du monde © Netgear
Si besoin, ajouter une troisième borne se fera le plus simplement du monde © Netgear

Nous avons en revanche été confrontés à un problème un peu gênant lorsque nous nous promenions – avec l’ordinateur portable – à travers la maison. Si les débits observés sont corrects, nous avons eu comme des mini-sautes de connexion au moment – nous ne voyons pas d’autre explication – de passer d’une borne à l’autre. Ce n’est pas grand-chose, ça n'a pas interrompu nos échanges Discord et n’aura sans doute pas d’incidence sur un usage normal : on joue rarement en ligne en se déplaçant à travers la maison ! À contrario, soulignons la bonne couverture générale des bornes : disposées une au rez-de-chaussée et l’autre à l’étage, elles ont permis de « quadriller » le domicile sans laisser de « zone blanche ».

La puissance du signal Wi-Fi est plus que correcte... par rapport aux box SFR / Free © Nerces pour Clubic
La puissance du signal Wi-Fi est plus que correcte... par rapport aux box SFR / Free © Nerces pour Clubic

Le graphique ci-dessus permet de vérifier la bonne puissance des signaux envoyés par les modules du Nighthawk MK62. Dans le cas présent, il s’agit du Wi-Fi émis par le routeur et vous noterez qu’il se comporte globalement mieux que les réseaux de nos deux box, qu’il s’agisse du modèle SFR (dit Box Plus) ou du modèle Free (la Revolution). Compte tenu de la petitesse des modules Nighthawk, de leur discrétion, c’est vraiment une excellente surprise. Nous n’avons pas non plus remarqué de perte intempestive du signal, peu importe que nous utilisions une machine en Wi-Fi 5 ou en Wi-Fi 6, que nous nous connections sur la bande des 2,4 GHz ou celle des 5 GHz. Du tout bon.

Débits mesurés sur des échanges de fichiers entre deux ordinateurs Wi-Fi 6 © Nerces pour Clubic
Débits mesurés sur des échanges de fichiers entre deux ordinateurs Wi-Fi 6 © Nerces pour Clubic

Enfin, dans un second temps, nous avons tout de même tenu à nous faire une idée des débits que l’on peut escompter avec le Nighthawk MK62. Attention, comme nous le spécifions à chaque fois, notre domicile n’est pas « Wi-Fi compliant » – avec ses éléments « bloquants » et saturé par les réseaux voisins – et même avec du matériel haut de gamme, les débits ne sont pas mirobolants.

Sur de petites distances (moins de 5 mètres), le Nighthawk MK62 est bon, faisant pour ainsi dire jeu égal avec des produits sensiblement plus onéreux comme les Netgear Orbi RBK752, l’Asus ZenWi-Fi AX XT8 et le TP-Link Deco X60 que nous avons testés par le passé. Le bilan est moins flatteur dès lors que l’on s’éloigne de la borne émettrice, et ce, qu’il s’agisse du routeur ou du satellite.

À plus ou moins 6 mètres, il tient encore la route, mais au-delà de 12 mètres, le Nighthawk MK62 est distancé par ses concurrents. Notez qu’à près de 270 Mbps, il autorise encore une diffusion parfaite des vidéos, même en 4K, et bien que trois ou quatre usagers « tirent » sur le réseau. Il n’est donc pas question de battre des records avec cette solution mesh, mais pour un Wi-Fi domestique étendu et performant, le contrat est rempli.

S'il ne battra pas des records de débits, le MK62 est un modèle de choix pour la maison © Netgear
S'il ne battra pas des records de débits, le MK62 est un modèle de choix pour la maison © Netgear

Netgear Nighthawk Mesh MK62 : l'avis de Clubic

Seulement quelques semaines après avoir testé l’Orbi RBK752, il est intéressant d’étudier le cas du Nighthawk dans ses versions MK62 (un routeur / un satellite) ou MK63 (un routeur / deux satellites) pour voir comment Netgear segmente ses gammes. Plus riche, plus complet et plus performant, l’Orbi RBK752 nous avait parfois semblé un peu too much pour un usage domestique « classique » avec une couverture officielle de 350 m² et un tarif de près de 500 euros.

En réalité, dans bien des cas, un matériel aussi puissant n’est pas utile à la maison. À moins d’habiter un « palais », il nous semble préférable de privilégier le nombre de bornes à la couverture par borne. Ainsi, le Nighthawk permet de traquer les « zones blanches » partout dans la maison pour un tarif sensiblement inférieur à celui de l’Orbi RBK752 qui visera un public plus exigeant, soucieux de garder un meilleur débit. Même dans sa version MK63, le Nighthawk est encore nettement moins cher que l’Orbi… mais il n’est que bi-bande. À vous de voir !

Netgear Nighthawk Mesh MK62

8

Version moins onéreuse et plus grand public du mesh Wi-Fi selon Netgear, le Nighthawk MK62 est un modèle d'accessibilité : on branche, on clique trois fois et tout fonctionne ! Les bornes sont plutôt mignonnes et très discrètes, mais leurs performances - correctes - décevront les forcenés du débit.

Les plus

  • Bornes élégantes et compactes
  • Simplicité de mise en place
  • Simple d'ajouter des bornes
  • 1 port LAN par borne
  • Bonne couverture générale
  • Débits corrects à « courte » portée

Les moins

  • Pas de port USB pour le partage de fichiers
  • Pas de contrôle parental intégré
  • Performances en retrait à « longue » portée
  • Bi-bande « seulement »
Darty 188,25€ Voir l'offre
Fnac 256,16€ Voir l'offre
Darty 188,25€ Voir l'offre
Fnac 256,16€ Voir l'offre

Nerces

Spécialiste Hardware et Gaming

Spécialiste Hardware et Gaming

Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les év...

Lire d'autres articles

Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

Lire d'autres articles
Cet article contient des liens d'affiliation, ce qui signifie qu'une commission peut être reversée à Clubic. Les prix mentionnés ainsi que les marchands mis en avant sont susceptibles d'évoluer afin de toujours vous proposer le meilleur prix sur le produit concerné. 
Lire la charte de confiance
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ? Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
google-news
Rejoignez la communauté Clubic S'inscrire

Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.

S'inscrire

Commentaires

Haut de page

Les derniers tests

Périphériques réseaux : tous les derniers tests