En présentant son Eee PC à la presse début novembre, Asus faisait preuve d'optimisme en indiquant que tout serait fait pour que cette machine à 299 euros soit lancée sur le marché français avant les fêtes de fin d'année. Le fabricant taïwanais fait aujourd'hui marche arrière avec un communiqué dans lequel il affirme que l'Eee PC ne fera finalement son apparition chez les détaillants de l'Hexagone que le 23 janvier prochain. Il sera décliné en deux couleurs : blanc|clubic|, comme l'exemplaire utilisé dans notre test,|fin| et noir.
Vendu, seul, 299 euros, l'Eee PC se verra également associé à une clé USB 3G au sein d'une offre mise au point en partenariat avec SFR. Dans ce cadre, l'ensemble sera commercialisé au prix de 199 euros mais il sera nécessaire de prendre un abonnement à un forfait data chez l'opérateur.
Rappelons que l'Eee PC est présenté par Asus comme un concept se situant au carrefour de l'ordinateur portable, de l'UPC et du smartphone. Equipée d'un écran LCD de sept pouces, cette machine de 920 grammes embarque un système d'exploitation conçu par Asus à partir de la distribution Xandros, et se veut accessible aux néophytes comme aux enfants. Les applications courantes y sont préinstallées, de façon à ce que l'utilisateur puisse immédiatement commencer à s'en servir, sans avoir à se soucier de les paramétrer.
La plateforme Intel retenue par Asus repose sur un processeur Celeron M accompagné de 512 Mo de mémoire vive et de 4 Go de mémoire Flash qui servent au stockage du système d'exploitation, des logiciels installés et des données de l'utilisateur. Cette capacité, quelque peu limitée, pourra se voir augmentée par l'adjonction de Clés USB, de Disques durs externes ou de Cartes Mémoire (SD, SDHC, MMC).
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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