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A la date du 30 septembre 2006, la France comptait 11 757 000 d'abonnés haut débit, dont 650 000 foyers connectés grâce au câble, selon les chiffres publiés jeudi 30 novembre par l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). Avec 660 000 nouveaux abonnés sur le troisième trimestre de l'année, le taux de pénétration du haut débit enregistre une progression de 6%. Au troisième trimestre 2005, le nombre d'abonnés haut débit en France n'était que de 8 484 000.
Le régulateur estime qu'aujourd'hui, la couverture effective de la population en haut débit est comprise entre 96% et 98%, les lignes téléphoniques restantes étant trop longues pour prendre en charge des services de type ADSL. Du côté du dégroupage, il indique que 5,5 millions d'accès Internet ont été achetés en gros par les opérateurs alternatifs à France Télécom. 3,51 millions de lignes seraient dégroupées, avec 1,93 million de lignes en dégroupage partiel (l'usager conserve l'abonnement téléphonique traditionnel) contre 1,58 million de lignes totalement dégroupées (l'usager s'affranchit complètement de l'opérateur historique).
L'Arcep rappelle par ailleurs l'apparition des offres dites « ADSL nu », qui confère aux personnes résidant dans les zones non dégroupées la possibilité de s'affranchir de l'abonnement téléphonique. « Les conditions sont ainsi réunies pour que la dynamique observée sur le dégroupage puisse s'étendre aux zones non dégroupées », estime le régulateur. Plus d'informations sur le tableau de bord de l'Arcep.
Le régulateur estime qu'aujourd'hui, la couverture effective de la population en haut débit est comprise entre 96% et 98%, les lignes téléphoniques restantes étant trop longues pour prendre en charge des services de type ADSL. Du côté du dégroupage, il indique que 5,5 millions d'accès Internet ont été achetés en gros par les opérateurs alternatifs à France Télécom. 3,51 millions de lignes seraient dégroupées, avec 1,93 million de lignes en dégroupage partiel (l'usager conserve l'abonnement téléphonique traditionnel) contre 1,58 million de lignes totalement dégroupées (l'usager s'affranchit complètement de l'opérateur historique).
L'Arcep rappelle par ailleurs l'apparition des offres dites « ADSL nu », qui confère aux personnes résidant dans les zones non dégroupées la possibilité de s'affranchir de l'abonnement téléphonique. « Les conditions sont ainsi réunies pour que la dynamique observée sur le dégroupage puisse s'étendre aux zones non dégroupées », estime le régulateur. Plus d'informations sur le tableau de bord de l'Arcep.
