BenQ prépare le lancement du nouveau vaisseau amiral de ses vidéoprojecteurs grand public. Le W1500 mise sur un positionnement inédit en se destinant au divertissement au sens large.
BenQ annonce la mise en vente imminente de son nouveau vidéoprojecteur domestique haut de gamme. Baptisé W1500, il ne se destine pas seulement au home cinema.
Pour ce faire, il délivre pour commencer une luminosité maximale de 2200 lumens, ce qui permet de l'utiliser dans une pièce non-dédiée telle que le séjour. Sa lentille à focale courte et à décentrement de plus ou moins 10° permettent de projeter une image d'une diagonale de 84 pouces d'une distance de 2 m (rapport 1,07 à 1,71). Mais aussi et surtout, sa connexion sans fil facilite considérablement son installation.
Le BenQ W1500 exploite effectivement la norme WHDI pour diffuser sans fil et sans perte un flux Full HD 1080p à 60 Hz. Il est livré avec un émetteur, appairé d'usine, qu'on branche à une sortie HDMI et à une source électrique USB.
Il repose par ailleurs sur le procédé DLP et sur une roue de couleur à six segments, pour réduire l'effet arc-en-ciel auquel sont sensibles certains individus. Il délivre donc une image Full HD avec un taux de contraste de 10 000:1. Compatible 3D, il n'est livré qu'avec une seule paire de lunettes. Une paire universelle exploitant la norme DLP Link vaut une trentaine d'euros. Il dispose enfin de deux entrées HDMI, en plus de l'entrée WHDI, d'une entrée VGA et d'entrées analogiques. Notons enfin qu'il abrite deux haut-parleurs d'appoint de 10 W chacun, mais aucune fonction connectée ou USB qui le rendraient totalement autonome.
Le vidéoprojecteur domestique BenQ W1500 sera donc commercialisé en France dès le début du mois de juin au prix public de 1800 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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