En plus de sa série limitée Carrée Europe, SFR a annoncé ce matin une mise à jour de sa gamme de forfaits conventionnels Carrés. L'opérateur généralise à son tour la 4G et rehausse le volume de certains forfaits.
Suite à l'intégration sans surcoût de la 4G aux forfaits de Free, Bouygues Telecom puis Orange ont récemment pris la même mesure pour leurs forfaits conventionnels ainsi que pour une partie de leurs forfaits low cost. SFR inclut à son tour le très haut débit mobile à ses forfaits Carrés, mais pas à ses forfaits low cost Red, du moins pas encore.
Il en profite pour simplifier la gamme, ce qui a quelques effets collatéraux : certaines prestations deviennent plus chères, d'autres moins.
Les trois premiers forfaits offrent sensiblement les mêmes prestations que leurs prédécesseurs, si ce n'est qu'ils peuvent bénéficier de la 4G, « sur demande », à prix constant ou même à prix inférieur. Le Carré 500 Mo baisse effectivement de 5 euros/mois et passe à 20 euros/mois sans mobile.
Les évolutions et les implications sont plus lourdes pour les trois forfaits suivants. Le premier prix pour 3 Go en 4G est désormais de 30 euros/mois, en baisse d'un euro. À contrario le prix d'entrée pour bénéficier d'un « Extra » et/ou de carte(s) SIM supplémentaire(s) (MultiSurf) est de 33 euros/mois, en hausse de deux euros. Mais le volume d'Internet passe en contrepartie de 3 à 5 Go. Les deux forfaits internationaux enfin, qui n'apparaissent pas sur l'illustration ci-dessous, passent de 7 et 9 à 12 et 16 Go pour les mêmes prix.
Les Extras sont pour rappel des services inclus aux forfaits, qui peuvent être utilisés indifféremment depuis le terminal de l'abonné ou d'un autre équipement. Sont proposés les services de vidéo, de musique, de presse ou de jeux vidéo à la demande sur abonnement CanalPlay, Napster, SFR Presse ou Gameloft, ou le service d'assistant d'aide à la conduite iCoyote, qui valent tous plus ou moins 10 euros/mois lorsqu'ils sont souscrits indépendamment.
Ces nouveaux forfaits Carrés seront disponibles à partir du 11 février 2014.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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