Après avoir lancé les Galaxy Tab Pro, ses nouvelles tablettes haut de gamme, au CES 2014, Samsung renouvelle les Galaxy Tab et les repositionne sur le milieu de gamme.
210 x 124 x 7,95 mm et 4450 mAh pour 320 g
Succédant aux Galaxy Tab 3 qui incarnaient le haut de gamme en leur temps, les nouvelles Galaxy Tab 4 rétrogradées en milieu de gamme n'évoluent qu'un peu. Elles apportent principalement les nouveaux codes esthétiques de Samsung, plus droits, la dernière version d'Android, la 4.4, ainsi qu'un nouveau processeur.
Tout comme la 3e génération de Galaxy Tab, la 4e génération est déclinée en trois formats : les écrans LCD font 7, 8 et 10,1 pouces de diagonale (18, 20 et 25 cm). Les versions Pro se réservent les hautes résolutions, les nouvelles Galaxy Tab s'en tiennent aux 1280 x 800 pixels de leurs prédécesseurs.
Une puce quadricœur au détriment de l'Atom
Exception faite de leur batterie, les trois variantes partagent par ailleurs leur fiche technique. Elles accueillent principalement une puce quadricœur à 1,2 GHz non précisée, en lieu et place des bicœurs des versions précédentes. Samsung abandonne ainsi la plateforme Intel Atom à architecture x86.
243,4 x 176,4 x 7,95 mm et 6800 mAh pour 487 g
On retrouve par ailleurs 1,5 Go de mémoire vive et 16 Go de mémoire interne extensible via microSD, une connectivité sans fil Bluetooth 4.0, Wi-Fi N, des caractéristiques inchangées, un capteur frontal à 1,3 million de pixels mais un dorsal à 3 millions, en retrait par rapport à celui à 5 millions de la génération précédente. On n'utilise que rarement une tablette pour photographier, après tout.
Les Samsung Galaxy Tab4 7.0, 8.0 et 10.1 seront proposées dès leur lancement en noir ou en blanc, avec ou sans 4G. Les prix et dates de lancement n'ont toutefois pas encore été communiqués.
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186,9 x 107,9 x 9 mm pour 276 g avec une batterie d'une capacité indéterminée
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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