Apple lancera comme prévu l'iPad 2 en France aujourd'hui à 17 h. Si la firme de Cupertino avait fait cavalier seul pour la version 3G du premier iPad, avant de se raviser sur le tard, les opérateurs accompagnent cette fois le nouveau modèle dès son lancement.
Une carte SIM prépayée auprès d'Apple
Première à vendre l'iPad 2, la boutique en ligne de la pomme, l'Apple Store, propose pour commencer d'accompagner la commande d'un modèle 3G d'une micro carte SIM prépayée prête à l'emploi.
Pour 8 à 9,90 euros, les trois opérateurs historiques offrent un à trois jours de connexion, et permettent naturellement de recharger son compte prépayé ou de migrer vers leurs offres respectives. Cette procédure ne donne en revanche droit à aucune subvention sur l'achat de la tablette, qui reste aux tarifs annoncés.
Les opérateurs subventionnent et commercialisent l'iPad 2
Après avoir nié son existence jusqu'à ce matin, deux des trois opérateurs historiques ont finalement bravé l'interdit en annonçant timidement qu'ils subventionneraient et commercialiseraient directement l'iPad 2, au même titre qu'un téléphone mobile.
Orange s'est contenté d'annoncer que « l'iPad 2 sera disponible dès 17 h aujourd'hui à partir de 279 euros » (au lieu de 609 euros), vraisemblablement après une offre de remboursement de 100 euros et associé à un forfait multimédia ou intense pour iPad, facturé de 31 à 39 euros/mois et soumis à un engagement minimum de 12 mois.
SFR le commercialisera quant à lui à partir de 299 euros pour la souscription d'un forfait Internet Absolu, facturé 34,90 ou 40,90 euros/mois pour un engagement de 24 ou 12 mois. L'iPad 2 serait par ailleurs disponible en boutique SFR.
Bouygues Telecom a enfin confirmé qu'il poursuivrait sur sa lancée en ne commercialisant pas de tablette Apple.
De plus amples détails pourront être livrés par les opérateurs dès 17 h, heure à partir de laquelle tous les distributeurs alternatifs seront finalement autorisés à communiquer sur le sujet.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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