Retrouvez dès à présent notre test du Honor 8.
La déclinaison phablette du Honor 8 embarque une configuration très proche de son (plus) petit cousin, même si Huawei muscle un peu son jeu côté composants pour coller avec l'impressionnant écran Super Amoled de 6,6 pouces (au passage, quasi dépourvu de bordures) dont est équipé le Note 8 (pour une définition de QHD de 1 440 par 2 560 pixels).
En lieu et place du Kirin 950, on trouve ainsi un Kirin 955, un SoC à huit cœurs composé de Cortex-A53 et Cortex-A72. Et si le Honor 8 est commercialisé, dans sa version de base, avec 3 Go de mémoire vive, le Note 8 dispose pour sa part de 4 Go. La partie photo est également tirée vers le haut, avec un capteur de 13 mégapixels à l'arrière (contre 12 pour le Honor 8), tandis qu'à l'avant, Huawei conserve le 5 mégapixels du Honor 8. Le stabilisateur optique est, par ailleurs, toujours de la partie.
Concernant le stockage, la proposition est équivalente : 32 Go de stockage de base, avec une version 64 Go, et toujours un emplacement microSD (compatible avec des cartes de 128 Go) qui permet d'étendre la capacité (attention, le slot est partagé avec l'emplacement pour une seconde SIM). Le Honor Note 8 bénéficie toutefois d'une version 128 Go, ce que Huawei ne propose pas sur son Honor 8.
Enfin, le lecteur d'empreinte digitale est toujours présent, tandis que la capacité de la batterie est nettement revue à la hausse : là où le Honor 8 embarque un composant de 3 000 mAh, le Note 8 dispose quant à lui d'une batterie de 4 500 mAh.
Le Honor Note 8 est, pour l'heure, en précommande uniquement en Chine. Il y est commercialisé au prix de 2 299 yuans (soit l'équivalent de 310 euros environ) pour la version 32 Go et 2 799 yuans (à peu près 380 euros) pour la version 128 Go.
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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