La marque britannique Kazam, à laquelle on doit des smartphones Android low cost sans prétention, prend aujourd'hui un nouveau départ avec l'annonce du Tornado 348, qu'elle présente comme « le smartphone le plus fin au monde ».
139,8 x 67,5 x 5,15 mm pour 95,5 g
Le Kazam Tornado 348 ne mesure que 5,15 mm d'épaisseur, ce qui est bien le record mondial. Il n'en a pas la prétention, car en réalité Kazam ne bat aucun record. Le britannique n'a fait qu'apposer sa marque sur l'Elife S5.1 du fabricant chinois Gionee. Celui-ci a été reconnu smartphone le plus fin au monde par la franchise Guinness World Records au début du mois d'octobre, mais il n'est toujours pas commercialisé.
Quoi qu'il en soit l'appareil bénéficie d'un cadre en alliage d'aluminium et de magnésium, de dalles Corning Gorilla Glass, et d'un écran AMOLED HD (1280 x 720 pixels) de 4,8 pouces. Le terminal abrite finalement une puce MediaTek MT6592 à huit cœurs ARM Cortex-A7 à 1,7 GHz et à GPU ARM Mali-450MP4, 1 Go de mémoire vive et 16 Go de mémoire interne non extensible. On retrouve par ailleurs des capteurs frontaux et dorsaux de 5 et 8 millions de pixels, du Bluetooth 4.0 et du Wi-Fi 802.11n, mais ni NFC, ni 4G. L'ensemble repose sur Android 4.4, la dernière version en date, et sur une batterie de 2050 mAh.
L'appareil se contente donc d'une fiche technique modeste, quoi qu'honorable, au profit du design. Ce Kazam Tornado 348 sera disponible en France et dans toute l'Europe à partir de fin novembre au prix public de 300 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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