Le MX4 est un téléphone sous Android 4.4.2, un système sur lequel Meizu ajoute son interface Flyme OS 4.0. Doté d'un écran de 5,36 pouces affichant sur 1 920 par 1 156 pixels, il arbore une résolution de 417 pixels par pouce.
Il est équipé d'un SoC à 8 coeurs de chez Mediatek, en l'occurrence le MT6595, qui remplace donc le Exynos 5 de Samsung présent sur le MX3. Pour rappel, ce processeur est doté de quatre cœurs Cortex-A17, cadencés ici à 2,2 GHz, alors que les cœurs Cortex-A7 qui les épaulent en cas d'activité réduite fonctionnent quant à eux à 1,7 GHz. La partie graphique est assurée par un GPU PowerVR G6200.
On trouve dans ce smartphone 2 ou 3 Go de mémoire vive (Meizu ne précise pas l'information), une batterie à la capacité plus importante que sur le MX3, puisqu'elle passe à 3 100 mAh, et un capteur de 20,7 mégapixels signé Sony (un Exmor RS) et ouvrant à f:2,2. Le capteur placé au-dessus de l'écran se contente quant à lui d'une définition plus modeste de 4 mégapixels, mais ouvre à f/2,0.
Si la fiche technique s'enrichit donc, le design reste semblable à celui de son prédécesseur, même si le portable s'affine légèrement (pour parvenir à 8,9 mm d'épaisseur), prend quelques millimètres dans les autres dimensions (144 mm de haut, 75,2 de large) et un peu de poids (147 grammes).
Proposé en version 16, 32 ou 64 Go de mémoire flash, ce MX4 se passe, comme son aîné, d'un port micro-SD. Comme nous le disions en introduction, il sera compatible 4G/LTE, sa connectivité étant complété par un circuit WiFi 802.11ac
Ce téléphone n'est pour l'heure pas encore annoncé en France et son prix reste inconnu dans nos contrées, mais sachez qu'il sera commercialisé le 20 septembre prochain en Chine, pour un prix avoisinant les 220 euros pour la version 16 Go, 250 euros pour la version 32 Go et 300 euros pour le modèle 64 Go.
Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
Lire d'autres articles
