Samsung Galaxy Note 3 zoné : la vérité sur le verrouillage régional

30 septembre 2013 à 18h43
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Samsung a finalement clarifié la situation concernant le « zonage » du Galaxy Note 3, qui a fait débat lors de sa découverte la semaine dernière. Dans le cas d'une utilisation courante, ce zonage n'aura aucune répercussion pour les consommateurs.


Lors de la mise en vente du Galaxy Note 3 la semaine dernière, Samsung a dévoilé l'existence d'un zonage et laissé entendre qu'un modèle acheté en Europe par exemple ne pourrait fonctionner avec une carte SIM d'un autre continent, lors d'un déplacement.

En réalité tout dépend de la première carte SIM qu'on insère dans le mobile. Si elle provient de la même région que le terminal, il est automatiquement dézoné et on peut aussitôt l'utiliser avec une carte SIM d'une autre région. Un consommateur européen pourra donc l'utiliser dans son pays de résidence puis souscrire à une offre locale en déplacement, comme avec n'importe quel autre téléphone.

Limiter l'import

Ce n'est que si la première carte SIM provient d'une autre région que le téléphone se bloque. Il faut alors se rendre dans un centre de service Samsung et faire débloquer le téléphone, une opération probablement facturée.

Jusqu'à présent seuls les opérateurs verrouillaient les téléphones, pour des raisons de fidélisation. Le fabricant prétend quant à lui que le zonage garantit une expérience optimale dans chaque région. L'objectif est probablement de limiter la revente de modèles importés, qu'ils soient disponibles ou pas dans le pays de revente. Quelques subtilités peuvent effectivement varier d'un marché à l'autre : les fonctionnalités incluses, les dates de déploiement des mises à jour, les fréquences prises en charge (tant pour la 4G que pour le Wi-Fi) ou encore les niveaux d'émission.

Ce zonage a donc plutôt vocation à protéger les consommateurs, des revendeurs peu scrupuleux notamment.

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Romain Heuillard

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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