En plus de l'« Xperia active » étanche, Sony Ericsson a annoncé hier deux autres téléphones mobiles moins ambitieux mais pas inintéressants pour autant.
Sony Ericsson Xperia ray
L'« Xperia ray » est pour commencer une alternative plus abordable du vaisseau amiral du fabricant, l'Xperia arc.
Il bénéficie lui aussi d'Android 2.3 Gingerbread, de la même puce Qualcomm Snapdragon cadencée à 1 GHz, mais aussi et surtout du convaincant capteur CMOS Exmor R photographiant à 8,1 millions de pixels et filment en HD. On retrouve également une connectique complète comprenant GPS, radio FM, Wi-Fi et Bluetooth.
La principale concession se fait sur l'écran, qui passe de 4,2 à 3,3 pouces, mais qui bénéficie néanmoins de la même définition FWVGA (848 x 480 pixels). Il est à peine plus épais que son aîné, avec 9,4 mm d'épaisseur.
Le « Sony Ericsson Xperia ray » sera commercialisé au 3e trimestre 2011 au prix public hors abonnement de 300 euros.
Sony Ericsson txt
Le « txt » devrait effectivement offrir un clavier complet à moindre cout, pour tous ceux, tels que les plus jeunes, dont le forfait met l'accent sur les SMS au détriment de la voix et de l'Internet mobile.
Il se contente par ailleurs du minimum syndical, à commencer par son écran QVGA (320 x 240 pixels) de 2,6 pouces d'un autre âge, au dos duquel se trouve un capteur photographiant à 3,2 millions de pixels et filmant en définition standard. S'il se contente d'une connectivité cellulaire EDGE (et non 3G), il intègre en revanche Wi-Fi et Bluetooth.
Le « Sony Ericsson txt » repose enfin sur un système d'exploitation maison, offrant notamment une application unifiant les publications issues de Facebook et Twitter, et sera commercialisé en France au 3e trimestre au petit prix public hors abonnement de 100 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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