Netgear annonce aujourd'hui le lancement en France du « Centria », un équipement réseau trois en un qu'il commercialise aux États-Unis depuis le mois de septembre.
Le « Netgear Centria » a comme son nom l'indique vocation à constituer le pivot central d'un réseau. Cet appareil « tout en un » remplit pour ce faire trois fonctions : routeur-point d'accès Wi-Fi naturellement, mais aussi NAS et serveur multimédia.
De nombreux routeurs existants remplissent en fait des fonctions de stockage et de partage, y compris chez Netgear, mais le Centria est à notre connaissance le premier à disposer de son propre logement pour disque dur au format 3,5 pouces, en plus des habituels ports USB, deux ports USB 3.0 en l'occurrence, qui permettent de connecter des disques durs externes ou d'autres périphériques (tels qu'une imprimante). Il dispose également d'un logement pour carte mémoire SD.
Le firmware permet de tirer pleinement profit de ces nombreuses portes d'entrée : les utilisateurs Windows peuvent programmer des sauvegardes avec le logiciel maison ReadyShare Vault, les utilisateurs d'OS X peuvent utiliser la fonction native Time Machine et un bouton permet de copier du contenu d'une carte SD (tel que des photos) sur un disque dur sans ordinateur.
La fonction ReadyShare Cloud permet quant à elle de partager des fichiers multimédias, stockés sur les disques durs auxquels l'appareil est raccordé ou sur les ordinateurs du réseau, à la fois sur le réseau domestique, au travers du protocole standard DLNA, mais aussi sur Internet, sous forme de « cloud privé ».
Enfin, la partie routeur est relativement commune : on trouve un switch Gigabit Ethernet à quatre ports et un point d'accès Wi-Fi N pouvant atteindre 450 Mbps sur chacune des deux bandes 2,4 et 5 GHz.
Le « Netgear Centria » sera prochainement commercialisé en France au prix public de 210 euros sans disque dur (référence WNDR4700), ou de 390 euros avec un disque dur de 2 To (référence WNDR4720).
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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