Leica C : un Panasonic LF1 pas si m'as-tu-vu

09 septembre 2013 à 15h40
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Le nouveau Leica C est un Panasonic LF1 très légèrement redessiné qui présente pour principal intérêt d'être livré avec le logiciel Lightroom.

Leica vient d'annoncer le lancement du Leica C, un Panasonic LF1 subtilement redessiné sur lequel la marque allemande a apposé sa pastille rouge si convoitée.

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103 x 63 x 28 mm

Sur le plan technique, le Leica C Type 112 est en tout point identique au Lumix DMC-LF1, le compact expert de poche du japonais Panasonic. On retrouve donc le capteur CMOS de 1/1,7 pouce à 12,1 millions de pixels, le zoom 7 fois équivalent à un 28-200 mm f/2-5,9, le viseur électronique à 200 000 points, inédit sur ce segment, en plus de l'écran VGA de 3 pouces, et la connectivité NFC et Wi-Fi.

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Le Leica C se distingue de son parent, selon le fabricant, par son design « doté de beaucoup de style » qui « attire le regard immédiatement », ainsi que par sa « gamme d'accessoires branchée ». La messe est dite. Concrètement on retrouve le débord caractéristique des Leica M, ainsi que les boutons rectangulaires, et le fabricant propose plusieurs étuis, pochettes et courroies fabriqués avec des matériaux nobles.

Le Leica C sera mis en vente fin septembre en France au prix public de 600 euros, contre 430 euros pour le modèle Panasonic. En réalité le surcout du modèle Leica est raisonnable, car il est livré avec le logiciel Adobe Photoshop Lightroom, qui vaut 130 euros, soit une différence de 40 euros. Et pour ce prix Leica propose aux parisiens, marseillais et lillois un service client en boutique, et à tous un futur service de sauvegarde de photos en ligne.

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Romain Heuillard

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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