Olympus profite à son tour de la Photokina pour procéder à une annonce sur le marché du compact expert, avec le renouvellement d'une première génération lancée il y a un an et demi. Le nouveau « XZ-2 » apporte une mise à niveau modeste mais bienvenue.
113 mm x 65,4 mm x 48 mm pour 346 g (avec batterie et carte mémoire)
Premier représentant de la nouvelle marque « Stylus », réunissant désormais tous les compacts du fabricant, le nouveau venu reprend globalement l'approche du XZ-1, en apportant quelques retouches techniques mais aussi et surtout ergonomiques. De quoi rendre jaloux les possesseurs du premier modèle, mais peut-être pas au point de justifier un renouvellement.
On retrouve ainsi le zoom 28-112 mm f/1,8-2,5, qui demeure l'un des plus lumineux du segment, mais il cache dorénavant un capteur CMOS rétro-exposé de 12 millions de pixels au format 1/1,7 pouce, devenu le minimum syndical pour un compact expert (contre un CCD de 10 Mégapixels et de 1/1,6 pouce). Associé à la puce de traitement TruePic VI, il photographie de 100 à 12800 ISO et filme en Full HD 1080/30p au format H.264 avec son stéréo (contre HD 720/30p, Motion JPEG et mono).
Les autres apports sont d'ordre ergonomique. À commencer par la bague autour de l'objectif, désormais associée à un levier, qui permet de passer d'un mode cranté, pour le réglage de l'ouverture ou de la compensation d'exposition, à un mode fluide, pour le réglage du zoom ou de la mise au point, selon l'approche traditionnelle très en vogue. Une nouvelle poignée amovible permet quant à elle de privilégier l'encombrement ou la prise en main, au choix. Enfin, l'écran devient tactile et orientable sur l'axe vertical, mais pas assez pour réaliser des autoportraits.
L'« Olympus Stylus ZX-2 » sera commercialisé en France à partir du mois d'octobre au prix public de 550 euros, ce qui en fait l'un des compacts experts les plus onéreux. Il présente l'intérêt d'être compatible avec une vaste panoplie d'accessoires, dont des viseurs électroniques.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
