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A l'occasion du l'annonce de l'accord avec Debitel, le président de SFR a estimé que les MVNO pourraient se multiplier en France dans les prochaines années.
Un nouvel acronyme va devenir très populaire dans les télécoms. A l'occasion du l'annonce de l'accord avec Debitel, le président de SFR, Pierre BARDON, a estimé que les MVNO (Mobile Virtual Network Operator) pourraient se multiplier en France dans les prochaines années. Selon lui, la France pourrait compter près d'une dizaine d'opérateurs d'ici 3 ans, dont SFR, Bouygues Telecom et Orange.
Président de SFR, Pierre BARDON explique que sa société n'a jamais été hostile à l'apparition d'opérateurs virtuels dès lors que ces derniers étaient "créateurs de valeur" en touchant de nouvelles cibles. Ces nouveaux opérateurs pourraient ainsi se limiter à cibler une niche de marché (M2M, jeunes, personnes âgées, immigrés, chômeurs, riches, etc...) ou une région donnée.
Après un premier accord avec Debitel et l'échec des négociations avec Tele2, SFR reste ouvert à des opérations avec de grands noms de la distribution et avoue avoir mené des négociations avortées avec Carrefour il y a déjà deux ans.
Parmi les futurs opérateurs virtuels, la presse économique évoque un possible accord entre Orange et PhoneHouse ou entre Bouygues Telecom et Universal Music. Ce métier d'opérateur mobile pourrait également intéresser les opérateurs alternatifs. Outre Tele2, officiellement candidat mais qui bute sur un modèle économique réaliste avec les opérateurs existants, on pense par exemple à Neuf Telecom ou pourquoi pas Free qui pourraient ainsi, après l'internet, la téléphonie fixe, la télévision et bientôt la vidéo à la demander, proposer un cinquième service à leurs centaines de milliers d'abonnés.
Un nouvel acronyme va devenir très populaire dans les télécoms. A l'occasion du l'annonce de l'accord avec Debitel, le président de SFR, Pierre BARDON, a estimé que les MVNO (Mobile Virtual Network Operator) pourraient se multiplier en France dans les prochaines années. Selon lui, la France pourrait compter près d'une dizaine d'opérateurs d'ici 3 ans, dont SFR, Bouygues Telecom et Orange.
Président de SFR, Pierre BARDON explique que sa société n'a jamais été hostile à l'apparition d'opérateurs virtuels dès lors que ces derniers étaient "créateurs de valeur" en touchant de nouvelles cibles. Ces nouveaux opérateurs pourraient ainsi se limiter à cibler une niche de marché (M2M, jeunes, personnes âgées, immigrés, chômeurs, riches, etc...) ou une région donnée.
Après un premier accord avec Debitel et l'échec des négociations avec Tele2, SFR reste ouvert à des opérations avec de grands noms de la distribution et avoue avoir mené des négociations avortées avec Carrefour il y a déjà deux ans.
Parmi les futurs opérateurs virtuels, la presse économique évoque un possible accord entre Orange et PhoneHouse ou entre Bouygues Telecom et Universal Music. Ce métier d'opérateur mobile pourrait également intéresser les opérateurs alternatifs. Outre Tele2, officiellement candidat mais qui bute sur un modèle économique réaliste avec les opérateurs existants, on pense par exemple à Neuf Telecom ou pourquoi pas Free qui pourraient ainsi, après l'internet, la téléphonie fixe, la télévision et bientôt la vidéo à la demander, proposer un cinquième service à leurs centaines de milliers d'abonnés.
