Motorola a aujourd'hui annoncé le lancement en France du « Motoluxe », un nouveau smartphone « élégant et tendance » qu'il a lancé aux États-Unis au mois de janvier.
Le « Motorola Motoluxe » met en tout cas l'accent sur la finesse, en offrant un rapport diagonale/épaisseur proche de celui du Samsung Galaxy S II, avec respectivement 4 pouces et 9,85 mm (contre 4,27 et 8,49). Pour autant il ne correspond pas vraiment aux standards minimalistes du moment, mais chacun appréciera.
Il arbore également fièrement un capteur dorsal de 8 millions de pixels, dont la définition vidéo n'est malheureusement pas communiquée, ainsi qu'un capteur frontal VGA.
Mais les apparences sont parfois trompeuses et contrairement à ce que son nom laisse entendre, le « Motoluxe » est par ailleurs un smartphone banal à cheval entre l'entrée et le milieu de gamme. Son écran FWVGA de 4 pouces a beau être grand, il n'en abrite pas moins un processeur mono-cœur cadencé à seulement 800 MHz, une modeste quantité de 512 Mo de mémoire vive et 1 Go de mémoire interne, extensible par le biais d'une carte microSDHC (jusqu'à 32 Go).
La connectique comprend GPS, récepteur FM, HSDPA jusqu'à 7,2 Mbps, Wi-Fi N (avec fonction DLNA) et Bluetooth 3.0 mais ni sortie HDMI ni sortie MHL.
Enfin, le « Motoluxe » embarque malheureusement d'origine Android 2.3 Gingerbread, avec la nouvelle interface MotoSwitch dont la fonction Social Graph identifie les contacts les plus fréquents pour adapter leur taille sur l'écran d'accueil. Motorola a malgré tout prévu de mettre à niveau ce terminal vers Android 4.0 Ice Cream Sandwich.
En contrepartie, le « Motorola Motoluxe » sera vendu au prix public de 300 euros hors abonnement. Il est d'ailleurs lancé aujourd'hui en France chez Orange et d'autres distributeurs.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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