Nokia a aujourd'hui annoncé un nouveau téléphone mobile premier prix, le « C2-05 », qu'il destine avant tout aux marchés émergeants, mais qui sera également commercialisé en France, où il pourra contenter ceux qui ont une utilisation modérée mais variée de la téléphonie mobile.
Le nouveau « Nokia C2-05 » s'en tient effectivement au minimum syndical sur le plan technique, mais il repose en contrepartie sur la dernière version du système d'exploitation Series 40, offrant un accès aux milliers d'applications du Nokia Store et embarquant en l'occurrence les applications Facebook et Twitter.
La navigation sur Internet transite par les serveurs de Nokia, à la manière d'Opera Mini, où les données sont compressées afin de réduire le volume de données et par conséquent le temps de chargement, ce qui est tout particulièrement adapté aux petits forfaits auxquels il sera probablement associé mais aussi à sa connectivité exclusivement GSM et EDGE, sans 3G ni Wi-Fi.
Il s'articule par ailleurs autour d'un petit écran QVGA (320 x 240 pixels) de 2 pouces, abrite 64 Mo de mémoire interne (dont seulement 10 Mo disponibles), un emplacement pour carte microSD (de jusqu'à 32 Go), une connectivité Bluetooth 2.1 en plus de celle susmentionnée, et arbore un appareil photo VGA anecdotique, une prise casque standard de 3,5 mm et un port microUSB.
Le « Nokia C2-05 » sera commercialisé en France au cours du quatrième trimestre 2011 au prix public de 80 euros nu.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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