Pour la première fois, les Français résidant à l'étranger peuvent voter pour leurs députés depuis un site prévu à cet effet. Toutefois, selon certains spécialistes, le dispositif serait opaque alors que le code électoral ne prévoit la nomination que d'un seul expert chargé pour attester de la bonne tenue de ce scrutin.
Désormais investi président de la République, François Hollande a choisi les personnes qui l'accompagneront à l'Élysée. Jean-Marc Ayrault, nouveau premier ministre, a quant à lui désigné qui, au sein de son gouvernement, chapeauterait les questions du numérique et de la culture.
Avant de le présenter au Parlement, l'Arcep ouvre une consultation publique relative à son projet de rapport sur la neutralité du Net. L'Autorité de régulation des télécoms y développe quelques propositions d'action visant à assurer le fonctionnement équilibré d'Internet.
La passation de pouvoirs entre l'ancien et le nouveau président de la République s'est également faite en ligne, où le cabinet fraîchement nommé par François Hollande a pris les commandes du site de l'Elysée. Les différents portails du Gouvernement sont quant à eux en cours de réfection.
Le Conseil constitutionnel a validé officiellement le résultat de l'élection présidentielle. Les neuf sages précisent que la divulgation de certaines informations sur les tendances du scrutin avant même la fermeture de tous les bureaux n'a pas joué sur le résultat final.
Les autorités chargées de veiller au bon fonctionnement de l'élection présidentielle viennent d'adresser un nouveau message à l'attention des internautes. La Commission nationale de contrôle rappelle que toute publication ou republication de sondages est proscrite avant 20 heures dimanche.
Deux représentants des partis politiques UMP et PS ont débattu des programmes numériques de leurs candidats respectifs à l'élection présidentielle. Devant le collectif du numérique et rassemblant les professionnels du secteur, Nicolas Princen et Fleur Pellerin ont ainsi opposé leurs objectifs sur l'investissement, la formation, la Hadopi...
Comme le précise le code électoral, les résultats des élections ne doivent pas être diffusés avant la fermeture de tous les bureaux de vote. Selon la justice, l'AFP ainsi que plusieurs sites et journalistes étrangers auraient bravé cette interdiction.
Les autorités chargées de veiller au bon fonctionnement de l'élection présidentielle avaient averti qu'elles prendraient des mesures visant à limiter l'impact de toute publication sur Internet des résultats du scrutin avant 20 heures. Elles viennent d'annoncer qu'une équipe sera chargée de surveiller le Web et les réseaux sociaux.
Cinq candidats ont répondu à l'appel d'un collectif de professionnels du numérique. Chacun de ces prétendants à la présidence de la République ont donc précisé leurs ambitions sur le sujet en appuyant leur propos sur certains points particuliers comme l'Innovation, la formation ou encore la fiscalité numérique.
Les équipes de campagne de Nicolas Sarkozy et de François Hollande ont répondu à une série de questions posées par le Conseil national du logiciel libre. Ils y précisent leurs positions quant à la place du libre dans l'économie, qui divergent parfois, notamment sur la problématique des brevets logiciels.
Même s'il ne parle pas de numérique dans ses 32 propositions majeures, Nicolas Sarkozy a détaillé combien la taxation de ceux qu'il appelle « géants de l'Internet » rapportera à la France. Dans une note sur le chiffrage de ses actions, le candidat UMP explique que sa mesure devrait faire entrer 500 millions d'euros dans les caisses de l'Etat.
La Cnil a donné son accord pour la création d'un fichier qui recensera les informations personnelles de toutes les personnes qui formuleront une demande de recours contre une contravention. Déjà contesté, ce fichier est censé faciliter le traitement des contestations et permettre l'élaboration de statistiques.
Le numérique, parent pauvre de la campagne présidentielle 2012 ? Pas impossible, si l'on en croit la faible représentation des propositions liées à Internet et aux nouvelles technologies au sein des projets présentés par les dix candidats officiellement déclarés. Pour y voir plus clair, Clubic a choisi de les regrouper au sein d'une infographie.
Saisi en mars dernier, le Conseil constitutionnel devait donner sa position au sujet du projet de création d'une carte d'identité biométrique et d'une base de données contenant ces informations. Les neuf sages ont censuré le recours à un tel fichier et condamné ainsi la possibilité pour les autorités d'y accéder lors d'enquêtes sur le terrorisme.
Plusieurs organisations professionnelles spécialisées dans le numérique se joignent pour faire entendre leur cause auprès des candidats à l'élection présidentielle. Dans un communiqué commun, elles militent pour une meilleure prise en compte des spécificités du secteur dans les programmes de chaque parti.
Le candidat à l'élection présidentielle vient de donner des précisions sur sa volonté de mettre en place un système de taxation des professionnels du numérique. Nicolas Sarkozy souhaite ainsi prélever un impôt sur l'ensemble de leurs recettes publicitaires. La taxe concernerait également les firmes comme Apple ou Google qui ne sont pas installées sur le territoire.
Le député Hervé Féron (PS) vient d'adresser deux questions écrites au gouvernement. Il souhaite que le ministère des Affaires étrangères se positionne sur la vente de logiciels de filtrage d'Internet et GSM au régime libyen par une société française.
Selon un sondage réalisé par l'institut BVA pour Orange et la SACD, François Hollande serait le candidat à l'élection présidentielle le plus à même de répondre à leurs attentes en matière de politique culturelle. De même, près de la moitié des personnes interrogées placent le développement de l'offre légale comme un axe important qui doit être développé.
La candidate à l'élection présidentielle représentant le Front National a donné les détails de son programme numérique. Marine Le Pen s'oppose au texte de la Hadopi, de la Loppsi 2 et de l'Acta et propose la mise en place d'une licence globale.
Les deux candidats à l'élection présidentielle ont donné des détails sur leur programme numérique. Ils préconisent tous deux de supprimer la Hadopi et de la remplacer par un mécanisme de licence globale.
L'Adami a organisé un rendez-vous entre plusieurs représentants de partis politiques disposant d'un candidat à l'élection présidentielle. Chacun a donné sa position sur les grands enjeux en matière de politique numérique culturelle pendant une conférence baptisée « Si j'étais Président ».
Le Président de la République a déclaré être candidat à l'élection présidentielle. Son site de campagne (lafranceforte.fr) a également été dévoilé dans la nuit. Le candidat y dévoile son bilan en matière de politique numérique.
La candidate à l'élection présidentielle du parti Europe-Ecologie-Les Verts a dévoilé les contours de son programme. En matière de numérique, Eva Joly propose de supprimer la Hadopi ainsi que la loi Loppsi.
Le candidat à l'élection présidentielle du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) a donné sa position en matière de culture numérique. Philippe Poutou juge l'Hadopi « injuste et inefficace » et milite pour une taxation de l'ensemble des professionnels du numérique.
Le candidat MoDem (Mouvement démocrate) vient de dévoiler les grandes pistes de son programme présidentiel. François Bayrou a rappelé l'importance de soutenir la production notamment informatique en France. Il explique également qu'à l'heure actuelle, l'Hadopi « n'est pas une bonne idée ».
Le parti à la rose semble évoquer l'idée de modifier la gestion des droits d'auteurs dans le cadre de son programme numérique. Selon le Nouvel Observateur, François Hollande proposera 3 pistes majeures sur les thèmes de fiscalité, de l'encouragement de l'offre légale ainsi que sur le terrain des usages en « légalisant le P2P pour les échanges non-marchand ».
La Commission européenne devrait proposer de nouvelles mesures afin de renforcer la protection des données privées des internautes de l'Union.
Le Syntec Numérique vient de rendre ses 10 propositions destinées à promouvoir la croissance de l'Economie numérique. L'association professionnelle livre ses observations à l'attention des candidats à l'élection présidentielle.