Bitfenix continue à décliner ses gammes avec l'annonce d'un nouveau Colossus M, construit sur la base du Prodigy, qui sera proposé en deux versions : mini-ITX et micro-ATX.
Après le succès du Prodigy, décliné en Phenom (sans les anses) puis en version M (micro-ATX), Bitfenix ajoute une nouvelle corde à son arc avec l'annonce du Colossus M. Cette nouvelle référence, déclinée aux formats mini-ITX et micro-ATX, combine la compacité des modèles précédemment cités à des éléments de design inspirés du Colossus, le boîtier grande tour de la marque.
Au programme : le revêtement soft-touch cher à Bitfenix, une face avant en biseau et un éclair lumineux qui fait le tour du boîtier et pourra, au choix, être paramétré en rouge, vert ou bleu.
L'agencement intérieur se veut taillé pour une configuration solide, avec un emplacement 5,25 pouces et cinq logements 3,5 pouces. En tirant une croix sur une partie des disques durs, on pourra insérer une carte graphique allant jusqu'à 330 mm de long. Pour le refroidissement, le Colossus M propose deux emplacements 120 mm en face supérieur ainsi qu'en face avant (où l'on pourra préférer miser sur un unique ventilateur allant jusqu'à 230 mm), ainsi qu'un 120 ou 140 mm en face arrière. Deux ventilateurs 120 mm sont fournis. Le panneau de connectique situé sur la porte droite propose enfin les habituelles jack et deux USB 3.0.
La version micro-ATX affiche des dimensions identiques (250 x 330 x 374mm) mais propose un agencement différent, avec trois emplacements 2,5 pouces et quatre baies 3,5 pouces.
Bitfenix annonce une disponibilité commerciale prévue pour fin décembre ou début janvier, avec des prix publics de l'ordre de 90 euros pour le Colossus M mini-ITX et 100 euros pour la version micro-ATX.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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