Thecus complète aujourd'hui sa gamme de NAS destinés au grand public et aux PME d'un nouveau modèle à cinq baies, le « N5550 », qui mise à son tour sur la polyvalence.
Tout porte à croire que le nouveau « Thecus N5550 » est la variante à cinq baies des N2800 et N4800 lancés mi-janvier, bien qu'il ne soit pas présenté ainsi.
Tout comme ces derniers, il dispose effectivement de sorties audio, VGA mais aussi et surtout HDMI, qu'il exploite pour servir de lecteur multimédia de salon, une fois relié au téléviseur ou à l'équipement audio et le module logiciel approprié installé, ou pour être géré de manière autonome, à l'aide d'un clavier et d'une souris. Le détail des formats supportés n'est malheureusement pas communiqué, bien qu'il soit décisif dans le choix d'un tel appareil.
Le modèle de processeur Intel Atom n'est pas précisé, mais la disponibilité d'une sortie HDMI révèle qu'il s'agit d'un modèle Cedar Trail de dernière génération, probablement le même double-cœur D2700 que ses prédécesseurs. Il est épaulé par une quantité de mémoire vive DDR3 très confortable de 2 Go. Il offre par ailleurs une connectivité USB 3.0, accélérant les copies vers ou depuis un support de stockage externe, eSATA, moins répandue et double Gigabit Ethernet.
Son micrologiciel (firmware) présente la particularité d'embarquer un antivirus McAfee, une solution de sauvegarde Acronis True Image, de prendre en charge les graveurs de CD/DVD/Blu-ray externes (gravure de fichiers ou d'images ISO), en plus de l'habituelle prise en charge de multiples modes RAID, de multiples systèmes de fichiers, l'iSCSI, la connectivité avec des applications Android ou iOS, etc.
Le « Thecus N5550 » sera commercialisé en France cette semaine au prix public de 520 euros nu, prix auquel s'ajoute le prix des disques durs.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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