Le fabricant de mémoire OCZ, plus connu ces derniers temps pour son activité dans le domaine des disques SSD, présente un tout nouveau standard d'interconnexions pour les disques SSD. Il s'agit du HSDL ou High Speed Data Link : une interface qui offre des débits atteignant 2 Go à la seconde contre 768 Mo/s (en théorie) pour un lien en Serial-ATA 6 Gb/s. Pour atteindre ces débits, l'interface HSDL se base essentiellement sur les particularités et spécifications du PCI-Express : la carte contrôleur d'OCZ utilise d'ailleurs un lien PCI-Express 4x. La connectivité de cette nouvelle interface repose sur un câble SFF-8087, c'est à dire un câble SAS. Pourtant ici, rien n'est comparable au standard SAS : les commandes Serial-ATA sont de plus converties en un signal PCI-Express entre le disque et la carte contrôleur.
OCZ vient d'annoncer l'arrivée prochaine sur le marché du successeur de son Onyx, un SSD de 32 Go qui s'affichait à un prix public conseillé de 99 dollars. Le fabricant dévoile ainsi Onyx 2, évolution de ce premier modèle, qui sera cette fois proposée dans des capacités de 120 et 240 Go. Équipé d'un contrôleur Sandforce, l'Onyx 2 offrirait selon le fabricant des performances en pointe de l'ordre de 275 Mo/s en lecture contre 265 Mo/s en écriture.
Non contents d'annoncer la sortie prochaine d'un monstre au format PCI-Express, le LSI PCIe SSD, les taïwanais de PhotoFast ont dévoilé aujourd'hui la gamme de SSD G-Monster3 XV1, composée de disques 2,5 pouces destinés aux machines des particuliers. En tête d'affiche, on trouve un modèle 256 Go qui afficherait, selon le fabricant, une vitesse de lecture maximale de 430 Mo/s !
STEC a dévoilé cette nuit aux Etats-Unis de nouveaux SSD, les plus endurants et performants de l'entreprise jusqu'à aujourd'hui. Ils visent des serveurs d'entreprise qui peuvent prendre en charge jusqu'à 30 000 I/O par seconde, et ont une durée de vie de plus de cinq ans.
L'outil de gestion des SSD (Solid State Drive) d'Intel profite d'une mise à jour qui étend les possibilités de gestion et de surveillance des produits de stockage de la marque, à commencer par les modules « Postville », munis de puces de mémoire Flash gravées en 34 nanomètres. Ce « SSD Toolbox 2.0 » permettra aux possesseurs d'un des disques d'Intel de vérifier que leur système d'exploitation est bien configuré pour tirer au mieux parti des bénéfices de la mémoire Flash. Il ouvre également la voie à la prise en charge de la commande TRIM pour les systèmes Windows antérieurs à Windows 7.
L'américain Viking, spécialisé notamment dans la mémoire à destination des serveurs, vient d'annoncer la sortie d'un périphérique de stockage quelque peu inattendu, puisqu'il s'agit d'un SSD (mémoire Flash) qui prend place sur une barrette de mémoire DDR3.
Samsung a récemment annoncé le renouvellement de sa propre gamme de SSD, qui est en fait déjà en vente. Le coréen est pour rappel l'un des principaux fournisseurs de mémoire flash au monde, mais il semble prendre moins au sérieux la commercialisation de supports de stockage sous sa propre marque. En témoigne son arrivée récente et donc tardive sur le marché de la carte mémoire.
La coentreprise montée par Intel et Micron vient d'annoncer l'entrée en production prochaine de puces de mémoire Flash capables de contenir trois bits par cellule et gravées en 25 nanomètres. Plus petites que les générations précédentes, ces puces sont tout particulièrement destinées au marché des clés USB et des cartes mémoire. Selon les deux fabricants, elles favoriseront la progression des capacités et la réduction de l'encombrement de ces périphériques de stockage. La matrice nécessaire au stockage de 8 Go d'informations n'occuperait ainsi plus que 131 mm2, soit une réduction de 20% par rapport aux puces mémoire MLC (2 bits par cellule) gravées en 25 nanomètres.
Nos confrères allemands de ComputerBase ont mis en ligne la feuille de route, ou Roadmap, d'Intel pour ses disques SSD. On y apprend plusieurs choses à commencer par l'arrivée au quatrième trimestre de cette année d'un refresh de la gamme PostVille, la gamme la plus populaire parmi les SSD Intel. Les disques SSD X25-M d'Intel se verront donc proposés dans de nouvelles capacités : 160, 300 et 600 Go alors qu'Intel promet des performances améliorées. Il s'agira cette fois de mémoire MLC en 25nm (et non 34nm comme pour les actuels PostVille).
Micron Technology début aujourd'hui la commercialisation de ce qu'il estime être le plus rapide SSD (solid-state drive) destiné aux entreprises sur le marché. Le RealSSD P300 est conçu pour être intégré aux serveurs, baies de stockage et stations de travail haut de gamme. Il est disponible en 50, 100 et 200Go.
Le succès de ce nouveau support de stockage qu'est le SSD nait petit à petit et donne logiquement quelques idées aux constructeurs. La preuve aujourd'hui avec 3 SSD placés dans des boîtiers externes et disposant d'une connectique USB 3.0. Lequel est le meilleur ? Réponse dans ce test !
Sans surprise, le dernier contrôleur JMicron commence à être adopté par les spécialistes du stockage sur mémoire Flash. Après A-Data et son S596 Turbo, c'est cette semaine au tour de Super Talent de dévoiler une nouvelle gamme de SSD faisant appel au JMF616. Particularité de ces disques, baptisés UltraDrive MX : la présence d'une double interface, avec le traditionnel SATA pour communiquer avec le reste de la machine, doublé d'un connecteur mini USB qui servira selon le fabricant à aisément transférer les données de son disque dur magnétique actuel avant d'installer le SSD.
Alors que l'avenir appartient sans aucun doute au SSD, le disque dur ne s'avoue pas vaincu pour autant. Western Digital fait de la résistance avec son VelociRaptor 600 et Seagate remet le disque hybride au goût du jour avec son tout nouveau Momentus XT.
Plutôt que de multiplier les gammes à l'envi, en exploitant les différents contrôleurs du marché, Corsair a choisi de multiplier les références au sein de sa gamme Force. L'américain vient en effet d'annoncer la sortie prochaine de trois nouvelles capacités : 40, 80 et 160 Go, qui viendront s'ajouter aux modèles 60, 120 et 240 Go déjà présents sur le marché. L'intérêt ? Coller au plus près des besoins du consommateur et surtout, être en mesure de proposer un SSD à tous les prix.
Venu de Taïwan, le S596 Turbo d'Adata serait, aux dires du fabricant, le premier SSD du marché à exploiter le dernier contrôleur de JMicron, le JMF616. Bien qu'il faille encore s'assurer que ce contrôleur tient ses promesses, Adata assure que les performances seront au rendez-vous et promet des débits maximum de l'ordre de 260 Mo/s en lecture, contre 210 Mo/s. De quoi damer le pion à la déferlante de disques faisant appel aux solutions SandForce ?
Pas tout à fait mort, le vénérable IDE ? C'est ce que semble penser le japonais Buffalo, qui vient d'ajouter une référence affichant une capacité de 256 Go à sa gamme de disques à mémoire Flash SHD-NHPU2, laquelle délaisse la désormais incontournable interface SATA au profit de son prédécesseur. Repéré par TechConnect, ce nouveau modèle fait appel à des puces mémoire MLC, offre une interface USB 2.0 optionnelle et dispose de 64 Mo de mémoire cache. De quoi proposer des débits de l'ordre de 100 Mo/s selon le fabricant, pour un prix absolument prohibitif de 1200 dollars.
Mea culpa, de (trop) nombreuses petites erreurs s'étaient glissées dans notre comparatif de SSD publiés hier matin. Après correction de ces dernières (et notamment celles qui s'étaient glissées sur les performances du SSD Intel), voici notre dossier revu et corrigé.
Le fabricant de mémoire Lexar Media a annoncé hier qu'il complétait la famille RealSSD C300 de la marque Crucial d'une nouvelle référence d'une capacité de 64 Go, incarnant dorénavant le premier prix.
Un mois après la sortie des Callisto, ses premiers SSD basés sur le contrôleur SF-1200 de SandForce, Mushkin annonce une mise à jour de ces derniers avec l'annonce d'une nouvelle référence, les Callisto deluxe. Les caractéristiques globales restent inchangées, avec des taux de transfert susceptibles d'atteindre 285 Mo/s en lecture contre 275 Mo/s en écriture, une interface SATA et la prise en charge de la commande TRIM, mais ces nouveaux disques seraient désormais capables, selon le fabricant, de gérer jusqu'à 50.000 IOPS (opérations d'entrée / sortie par seconde), contre un maximum de 10.000 pour les Callisto standards.
OCZ, qui dispose d'une large offre en matière de SSD 2,5 pouces, attaque le segment du 1,8 pouce avec la déclinaison des Onyx et Vertex 2 à ce format, particulièrement propice à l'intégration dans les netbooks ou les ordinateurs ultraportables.
Samsung a aujourd'hui annoncé un nouveau SSD, le premier au monde à utiliser la nouvelle architecture mémoire « toggle-mode DDR NAND ». Combinée à un nouveau procédé de fabrication des puces, cette nouveauté a permis la conception d'un SSD de 512 Go aux performances élevées et à la consommation électrique identique à celle d'un modèle d'une capacité deux fois moindre.
La commande TRIM, qui vise à assurer que les performances d'un SSD ne se dégradent pas avec le temps, a fait une première apparition au sein des derniers MacBook Pro 13 pouces d'Apple, ce qui laisse penser que sa prise en charge au sein de Mac OS X pourrait finir par être assurée.
Une startup israëlienne, Anobit Technologies, vient d'annoncer son premier produit : un SSD MLC qui serait aussi fiable que les plus onéreux SLC destinés aux entreprises. Ces dernières sont privilégiées en entreprises car, bien que plus chères, l'écriture d'un bit par cellule leur garantit une meilleure fiabilité. Or, selon Anobit, son Genesis SSD étend la durée de vie de 3 000 à plus de 50 000 cycles d'écriture / effacement par rapport aux standards existants pour les MLC, ce qui rendrait les MLC (qui stockent plusieurs bits par cellule) intéressants.
Hitachi, qui dans le domaine du stockage collabore avec LG, présentait cette semaine à l'occasion du Computex le premier exemplaire d'un lecteur Blu-ray pour ordinateur portable intégrant des puces de mémoire Flash, à la façon d'un SSD. Ainsi, on dispose au sein d'un seul et même composant d'un lecteur optique et d'un espace de stockage sur lequel installer le système d'exploitation de sa machine. Au niveau du système, les deux sont reconnus comme étant indépendants, et l'on économise donc l'espace nécessaire à l'intégration d'un disque dur ou d'un SSD. Sur ce modèle baptisé HyDrive, Hitachi LG a fait appel à un contrôleur Indilinx, associé à 32 ou 64 Go de mémoire Flash, au sein d'un lecteur de 12,5 mm d'épaisseur. Ingénieux, même si l'on aurait préféré un périphérique encore plus fin, histoire de venir égayer netbooks et autres ultraportables.
350 Mo/s. C'est la vitesse que serait capable d'atteindre, en lecture, le premier SSD A-Data faisant appel à une interface SATA 6 Gb/s. Un taux de transfert impressionnant, qui s'élèverait à environ 215 Mo/s en ecriture, pour ce disque qui devrait être décliné en des capacités allant de 64 à 512 Go.
OCZ disposait déjà à son catalogue de modules SSD (Solid State Drive) faisant appel à une interface PCI-Express, mais il réservait jusqu'ici ces offres particulièrement onéreuses aux entreprises. L'américain a toutefois pris le parti de décliner le concept en direction des particuliers avec le RevoDrive, dévoilé lors du Computex de Taiwan.
Le spécialiste de la petite mémoire flash (carte mémoire, clé USB) a annoncé hier le renouvellement de ses familles de SSD. Le fabricant a effectivement profité du Computex pour annoncer les nouveaux SSD pour ordinateurs portables de la série G4, ainsi que les nouveaux modèles miniatures pour mini-portables et tablettes de la série P4.
À défaut de rivaliser directement avec les spécialistes du domaine, les fabricants historiques de supports de stockage explorent de nouveaux horizons. LG-Hitachi profite ainsi du Computex, qui se tient actuellement à Taipei (Taiwan), pour annoncer une unité optique dite « hybride », embarquant un SSD. Encore à l'état de concept, le HyDrive (vraisemblablement pour hybrid drive) se présente sous la forme d'un graveur de DVD multiformat pour ordinateur portable, muni d'un SSD de 32 ou 64 Go.
