Asus fait de nouveau appel au bon vieux chipset Intel X58 pour lancer aujourd'hui une nouvelle carte mère pour station de travail : la « P6X58-E WS ». Bien qu'il ait déjà plus de deux ans, « Tylersburg » continue d'accueillir les processeurs les plus performants du marché sur son socket LGA1366, en attendant l'avènement de son successeur, nom de code « Patsburg ».
L'« Asus P6X58-E WS » est conçue pour faire fonctionner à plein régime 24 h / 24 et 7 j / 7 les composants les plus performants et les plus gourmands, tels qu'un processeur Intel Core i7 ou même Intel Xeon et une carte graphique haut de gamme Nvidia GeForce de la série 500 ou AMD Radeon HD de la série 6000.
Elle dispose pour ce faire d'un étage d'alimentation conséquent à 16+2 phases, tout en se contentant malgré tout d'un système de refroidissement passif, constitué de radiateurs traversés par un caloduc.
Elle offre enfin une connectique interne tout aussi conséquente, comprenant pour commencer cinq emplacements PCI Express x16, associés à une puce Nvidia GF200 permettant d'en tirer le meilleur parti. On retrouve également deux ports Serial ATA à 6 Gb/s en plus de six autres à 3 Gb/s, et deux ports USB 3.0 en plus d'une palanquée d'autres à la norme 2.0. Deux ports réseau Ethernet Gigabit hérités du domaine du serveur et deux ports FireWire complètent le tout.
La date de commercialisation et le prix vraisemblablement astronomique de cette carte mère n'ont fort heureusement pas été communiqués.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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