0
Nouveau record pour la fibre optique avec l'opérateur NTT Docomo qui vient d'annoncer avoir réussi à maintenir un débit de 14 Tbit/s (14 térabit par seconde) sur une distance de 160 kilomètres. Pour y parvenir, les ingénieurs de NTT ont réuni au sein d'une même fibre 140 canaux, chacun étant capable de véhiculer l'information à un débit de 111 Gbit/s. L'opérateur indique ainsi parvenir à un débit réel d'environ 1800 Go/s. C'est le français Alcatel qui avait enregistré le précédent record en 2001, avec un taux de transfert de 10,2 Tbit/s, utilisant 256 canaux à 40 Gbit/s sur plus de 100 Km.
Bien que l'opérateur français Free ait annoncé son intention d'utiliser des lignes à 1,4 Tbit/s dans le cadre de son plan fibre optique (voir Free s'engage dans la fibre optique dès 2007 (màj)), ces lignes à très haut débit ne seront pas exploitées pleinement avant plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années. Les opérateurs choisissent en effet d'installer des équipements dont la capacité dépasse très largement la demande afin que ces derniers restent viables le plus longtemps possible.
Les lignes à très haut débit telles que celles mises au point par Alcatel ou NTT Docomo, sont plutôt utilisées pour les liaisons intercontinentales. L'opérateur japonais envisage néanmoins de faire passer l'ensemble de ses infrastructures à 10 Gbit/s pour répondre aux besoins croissants des internautes japonais. L'archipel nippon compte aujourd'hui quelque cinq millions d'abonnés à la fibre optique.
Bien que l'opérateur français Free ait annoncé son intention d'utiliser des lignes à 1,4 Tbit/s dans le cadre de son plan fibre optique (voir Free s'engage dans la fibre optique dès 2007 (màj)), ces lignes à très haut débit ne seront pas exploitées pleinement avant plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années. Les opérateurs choisissent en effet d'installer des équipements dont la capacité dépasse très largement la demande afin que ces derniers restent viables le plus longtemps possible.
Les lignes à très haut débit telles que celles mises au point par Alcatel ou NTT Docomo, sont plutôt utilisées pour les liaisons intercontinentales. L'opérateur japonais envisage néanmoins de faire passer l'ensemble de ses infrastructures à 10 Gbit/s pour répondre aux besoins croissants des internautes japonais. L'archipel nippon compte aujourd'hui quelque cinq millions d'abonnés à la fibre optique.
