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Toshiba annonce à l'instant le rappel de 830 000 batteries fabriquées par Sony supplémentaires. Cette nouvelle opération porte le nombre total de batteries rappelées par les différents constructeurs de portables à plus de 7,5 millions. Toshiba indique n'avoir déploré aucun incident sur ses machines équipées de batteries Sony : le fabricant répond à une requête de Sony, qui se lance dans un programme de rappel global de ses batteries pour portables. Hier soir, et Lenovo ont annoncé le rappel de 526 000 batteries suite à l'embrasement d'un portable constaté dans un aéroport américain.
Toshiba indique que différents ordinateurs des gammes Dynabook, Qosmio, Satellite Portege et Tecra sont impliqués mais n'a pas encore précisé à quelles dates et dans quelles régions du monde les machines incriminées ont été vendues. Le fabricant avait déjà annoncé, le 19 septembre dernier, le rappel de 340 000 batteries produites par Sony. Ces dernières ne sont pas échangées à cause d'un éventuel problème de surchauffe mais parce qu'elles se montrent susceptibles de se décharger de façon anormale.
Toshiba est donc le premier à accéder à la requête de Sony, qui vient d'annoncer son intention de procéder à un échange global de toutes les batteries suspectes commercialisées par l'intermédiaire de ses partenaires. Fujitsu, qui avait initialement déclaré que ses portables n'étaient pas concernés par les risques de combustion, pourrait emboiter le pas à Toshiba.
Bien que Sony ait commencé par émettre l'hypothèque que les divers incendies constatés puissent avoir été causés par la mauvaise conception des Ordinateurs Portables de ses partenaires industriels, le japonais se cantonne maintenant à l'explication suivante : de microscopiques particules métalliques sont susceptibles de provoquer des courts-circuits lorsqu'elles entrent en contact avec certains éléments des batteries. Ce rappel général, qui porte déjà sur plus de 7,5 millions de batteries, devrait avoir des répercussions financières non négligeables pour Sony.
Toshiba indique que différents ordinateurs des gammes Dynabook, Qosmio, Satellite Portege et Tecra sont impliqués mais n'a pas encore précisé à quelles dates et dans quelles régions du monde les machines incriminées ont été vendues. Le fabricant avait déjà annoncé, le 19 septembre dernier, le rappel de 340 000 batteries produites par Sony. Ces dernières ne sont pas échangées à cause d'un éventuel problème de surchauffe mais parce qu'elles se montrent susceptibles de se décharger de façon anormale.
Toshiba est donc le premier à accéder à la requête de Sony, qui vient d'annoncer son intention de procéder à un échange global de toutes les batteries suspectes commercialisées par l'intermédiaire de ses partenaires. Fujitsu, qui avait initialement déclaré que ses portables n'étaient pas concernés par les risques de combustion, pourrait emboiter le pas à Toshiba.
Bien que Sony ait commencé par émettre l'hypothèque que les divers incendies constatés puissent avoir été causés par la mauvaise conception des Ordinateurs Portables de ses partenaires industriels, le japonais se cantonne maintenant à l'explication suivante : de microscopiques particules métalliques sont susceptibles de provoquer des courts-circuits lorsqu'elles entrent en contact avec certains éléments des batteries. Ce rappel général, qui porte déjà sur plus de 7,5 millions de batteries, devrait avoir des répercussions financières non négligeables pour Sony.
